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Calvaire des Modou-Modou à Buenos Aires: Un émigré dément et indexe l'indiscipline...

« Parfois des émigrés disent des mensonges aux journalistes. Le problème est qu’il y a des zones où il est strictement interdit de vendre. C’est pareil dans certains milieux de la capitale des autres pays européens et même Dakar »,laisse entendre un émigré vivant en Argentine. 

A l’en croire, les Sénégalais sont têtus et veulent à chaque fois braver les interdits. Ce qui ne marche pas dans ces pays.

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Dans les autres régions, déclare-t-il, il n’est pas interdit de vendre et « les immigrés font leur business normal sans être persécutés. Et c’est çà la vérité. »

« Ils ne restent qu’à Buenos Aires, certains Sénégalais ont de mauvaises habitudes et ne respectent jamais les lois et les règles », tacle-t-il.

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D’ailleurs, ajoute-t-il, l’assemblée avait voté une loi dans ce sens pour interdire la vente ambulante dans la capitale.

Cet émigré a joint Senego, pour apporter des éclaircissements suite à un article paru sur votre site préféré : « Argentine : Être Modou-Modou à Buenos Aires, un véritable calvaire.«  »Les vendeurs de rue sénégalais souffrent depuis des années de la violence, des arrestations, des vols de marchandises et de la mise en place d’affaires dans la ville de Buenos Aires. »

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2 commentaires

  1. lune

    Donc il suffit de vous téléphoner et vous donner n’importe quelle information , vous l’écrivez , le lendemain quelqu’un dément ce qui est écrit pour que vous rectifiez et vous appelez ça faire du journalisme , mais en même temps vous êtes sénégalais , ça peut se comprendre .


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