Les organisations associatives, les représentants des partis politiques et les membres de la société civile se mobilisent dans le contexte particulier de la crise sanitaire devant le siège de Amnesty International France pour exiger la libération « immédiate et inconditionnelle » de Boubacar SEYE, président de l’ONG Horizons Sans Frontières, arrêté le 15 janvier 2020 à l’aéroport Blaise Diagne, et inculpé depuis pour « diffusion de fausses nouvelles ».
Délit…
« Cette arrestation fait suite à une demande de reddition des comptes sur l’utilisation des fonds de l’Union européenne pour lutter contre la migration irrégulière au Sénégal, lors d’un entretien avec le journal ‘L’Observateur’ du 27 octobre 2020. Les poursuites dont il fait l’objet pour ‘diffusion de fausses nouvelles’ sont scandaleuses. Ce délit, en effet n’est pour ainsi dire jamais retenu par aucune des démocraties du monde soucieuses de la pluralité des opinions et du respect des libertés individuelles« , soutiennent-ils dans une note parvenue à Senego.
STOP…
Et de poursuivre: « Une fois encore le Sénégal, par le truchement de son président Macky Sall, se voit montré du doigt en matière de droits de l’Homme. Nous disons STOP à la judiciarisation de la vie politique qui caractérise les régimes autoritaires. Le président Macky Sall exerce une répression sur les citoyens qui dénoncent la corruption et critiquent son pouvoir. Nous disons STOP à la dérive autoritaire et l’atteinte ‘insupportable’ à la liberté d’expression, à l’État de droit ».
Dissiper tout malentendu…
A cet effet, ces organisations associatives, les représentants des partis politiques et les membres de la société civile exhortent « les bailleurs à réclamer la vérité. La seule réponse du gouvernement sénégalais qui puisse dissiper tout malentendu est la publication d’un bilan transparent sur l’utilisation des fonds européens pour enrayer l’émigration clandestine. Nous demandons solennellement aux autorités sénégalaises la libération immédiate de Boubacar SEYE et le respect strict des libertés fondamentales. Les délits d’opinions sont aujourd’hui le seul marqueur des régimes autoritaires et anti-démocratiques« .
Disons nous la vérité, quand un sénégalais renonce à sa nationalité en jurant la main sur la constitution espagnole, il doit se considérer comme espagnol et non sénégalais. Deuxièmement, il faut avoir des preuves quand on fait des accusations comme celles de Boubacar SEYE. Dire que les fonds sont utilisés pour le compte personnel de quelqu’un, tu dois pouvoir donner des preuves ensuite pour terminer, il a dit qu’il avait échangé des mails avec la représentante de l’Union européenne alors que c’était faux, on lui a demandé de montrer les mails et il n’avait jamais parlé avec celle-ci. Que voulez vous que l’Etat fasse? Laisser ces gens pousser les sénégalais à la révolte suite à leurs mensonges ? Il faut critiquer OUI, mais faut pas mentir. Et malheureusement, certains confondent CRITIQUES et MENSONGES.
Deg na deug deh sunugal wakh nga lep
pures vérités..mais quand on est intellectuellement malhonnête l on ne peut que verser dans l l’intoxication
VOUS N’AVEZ PAS COMPRIS QUI EST MAVKY SALL?
SUIVEZ MON REGARD: OU SONT
ALIOUNE SALL,
BOUGHAZELI,
ILS FONT QUOI:GASTON MBENGUE ET BRIMA?