Bébé mort à l’hôpital de Kaolack : Les précisions de la directrice Khadidiatou Sarr Kébé

Entre le moment où la bébé a été déclaré mort et sa réanimation, cela n’a pas fait 2 heures, a annoncé, mardi, la directrice de l’hôpital El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack. Khadidiatou Sarr Kébé assure disposer d’un personnel qualifié.
C’est une affaire qui est loin de connaître son épilogue. La mort d’un nouveau-né à l’hôpital El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack. « C’est quand les parents sont venus avec leurs papiers d’autorisation aux fins d’inhumation que le prédisposé à la morgue s’est rendu compte que l’enfant n’a pas encore été acheminé. C’est à cet instant qu’il a appelé à la pédiatrie. Et c’est sur ce fait qu’on a constaté que l’enfant bougeait. Et on l’a évacué rapidement. Cela n’a pas fait plus de 5 minutes« , a-t-elle notamment précisé sur ajoutant que les dispositions seront prises davantage.
Procédure administrative déclenchée
Selon la directrice générale, la procédure administrative est déclenchée. Non sans préciser qu’elle a un caractère confidentiel. « Nous allons prendre les dispositions administratives pour tout ce qui est du ressort de notre responsable« , a rassuré Khadidiatou Sarr Kébé.
Pédiatrie
Pour dire que cette pédiatrie, poursuit-elle, elle compte 91 places dont 65 de néonatales où le personnel « y abat un travail extraordinaire. »
Recrutement de personnel
Et d’affirmer qu’avec l’appui du ministère de la santé, l’hôpital a recruté, en plus du pédiatre et des deux qui terminent leur formation, quatre médecins généralistes qui ont été formés et outillés pour prendre la garde au niveau de la pédiatrie. « A tout moment, quand vous venez dans le service, vous trouvez médecin« , a martelé Mme Kébé.
Garde à vue
A noter que l’aide-infirmière arrêtée dans cette affaire est toujours en garde à vue au Commissariat de police de Kaolack où l’enquête se poursuit.
La corruption tue notre pays a bon entendeur salut
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