La commune de Bambilor a été le théâtre d’un crime d’une rare violence le 30 juin 2025. Abdou Aziz Ndoye, un homme d’une trentaine d’années, a été attaqué et grièvement blessé à la machette sur un chantier. Avant de succomber à ses blessures, il a eu le temps de désigner son agresseur : un collègue du nom de Goudiaby.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le drame s’est produit aux environs de 10 heures, alors qu’Aziz prenait son petit-déjeuner. Pris par surprise, il aurait d’abord reçu deux coups de machette dans le dos, avant d’être frappé à au moins sept reprises. Touché aux nerfs, il tombe dans un état critique, mais parvient à alerter son employeur et à identifier son agresseur.
Goudiaby, lui aussi blessé, probablement par son propre coupe-coupe, s’est rendu de lui-même à l’hôpital Youssou Mbergane. Alertés par les médecins, les gendarmes l’ont aussitôt interpellé.
Selon la famille de la victime, l’attaque était préméditée. Les deux hommes s’étaient violemment disputés pendant le mois de ramadan. Un différend que l’entourage croyait pourtant clos. « Il ne souffre d’aucun trouble mental, c’était une vengeance », martèle un proche d’Aziz, réclamant que justice soit faite.
Paix à son âme. Je me demande pourquoi certaines personnes sont devenus sauvages ?découper une personne comme un mouton c’est extraordinaire.
Pourkoi la peine de mort et attirer tout un tas de bruit national et international : il faut des peines de 40 à 60 ans et le problème est réglé
C’est comme ça dans les pays véridiques mais ici on a peur des grandes peines ou il y’a quelque chose derrière
Ils ne prononcent des peines réellement sévères que quand ils sont touchés directement
aux droits….
Vivement le rétablissement de la PEINE DE MORT n’en déplaisent Aix droits de l’hommistes !
Excusez-moi au tout puissant je veux dire
Les responsables qui doivent rétablir la peine de mort au senegal sans le faire, rendront compte au tous puissant (exécutif c0mme legislatif