Audio – Tuerie de Borofaye: Rien a rien à voir avec la guerre pour l’indépendance de la Casamance, selon Robert Sagna

Ce qui s’est passé n’a rien à voir avec la guerre revendicative pour l’indépendance de la Casamance, selon Robert Sagna. Explications !

2 COMMENTAIRES
  • amsy

    C pas vrais pourquoi vs avez k les peul fouta ya pas d diola

  • Boubou Ndiaye

    une émergence dans un rêve utopique ou les problèmes s’enchainent de plus en plus dans beaucoup de domaines plus précisément en matière de transport sur les bus tout en assistant à des bousculades en voyant des vieillards se mettent debout le long d’un trajet mais aussi des eaux usées des fosses qui se versent sur des quartiers menaçants la sante des adultes et des enfants .Mais aussi la pauvreté ,le cout de la vie ,les problèmes de la santé constituent les facteurs les plus gangrenant pour la population, d’un autre coté le chômage est un trou dont la jeunesse sénégalaise s’est enfoncée de manière profonde sans pouvoir s’y relever .C’est une désespérance totale de la plupart des citoyens qui croyaient rencontrer le véritable état, or que fut le contraire de ce qu’attendait le peuple en cet état avec sa théorie bidon comme le plan de l’émergence qui s’est réduit à un plan d’immergence.Moi ,je me vois choquer par ces promesses foisonnées qui ne se résultent qu’en des mensonges et des tromperies à l’égard de la population comme par exemple lors des conseils ministériels ou il se fixe de chiffrer des milliards et des milliards dans les régions mais en vain la concrétisation nous passe inaperçue parce que l’état ne rime pas avec la vérité mais plutôt avec l’illusion qui leur réconforte et cela depuis un bon vieux temps .Bref, ce qui intéresse les hommes d’état ne sont point l’intérêt général mais celui du particulier s’expliquant dans leurs beaux ports vestimentaires tout en étant dans des voitures de luxe et de belles maisons se les faisant de la part de l’argent du contribuable .Ils doivent savoirs que cet argent ne leur appartiennent pas et c’ est pour le peuple mais non c’est du pire magouille. Pour ne pas oublier ,l’éducation constitue le facteur le plus touché de nos jours voyons des grèves inachevées du fait qu’ils ne respectent pas les accords signés avec les enseignants pour une bonne et simple raison sont insoucieux parce que leurs enfants n’étudient pas ici ,sont à l’extérieur dans les meilleures écoles et universités et nous fils de ce pays sont toujours sacrifiés ;il faut que cela cesse pour de bons .O !jeunesse de mon pays portons haut le flambeau pour remettre à César à ce qui appartient à César car personne ne le fera à notre place .D’autant plus que nous sommes dirigés par des autorités incompétentes dépourvues de patriotisme et d’affection en faveur de leur pays ;ceci est une triste réalité et anormale car devant être la voix et la trompette de la population mais non c’est une supposition utilisée ,une image fictive pour nous tromper. Je me rappelle de Nietzche qui disait que l’état est un monstre froid, le plus froid des monstres froids, il ment dans tout ce qu’il dit : moi, l’état : je suis le peuple ; il n’est point le peuple mais c’est pour mieux mentir au peuple. La question que je me pose est là suivante : pourquoi suit-on des dirigeants qui nous exploitent pour leurs propres fins ? De ce point de vue la réveillons-nous et allons chercher des vaccins pour éradiquer notre cher Sénégal de cette maladie chronique. Il est possible avec l’appui de tous car seule l’unicité peut transgresser des planètes et des planètes voire même lever toutes les équivoques c’est le seul remède même si nous n’aimons pas nous dire la vérité en toute franchise .Nous !intellectuels ;soyons utile par notre maturité d’esprit du fait que le savoir est une arme redoutable mais non d’être derrière ces politiciens qui ne sont que des intellectuels mal élevés représentant des dangers sociaux de pires espèces.En effet ,l’avenir nous appartient mais refusons de copier sur des gens qui ne visent que l’intérêt particulier et la duperie cependant usons de toutes nos forces pour que ça cesse.

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