Après celui de la presse, le gouvernement sénégalais s’attaque à un autre secteur
Après avoir initié une opération d’envergure dans le secteur des médias pour garantir un assainissement rigoureux, l’État sénégalais semble prêt à s’attaquer à un autre domaine sensible : la régulation des partis politiques. Selon L’Observateur, les autorités envisagent une réforme visant à réduire la prolifération des formations politiques, un chantier crucial dans un pays où près de 400 partis sont recensés.
Le quotidien rapporte que le régime du Président Diomaye Faye travaillerait à une « rationalisation de l’espace public », sans toutefois préciser les détails ou le calendrier de cette initiative. Néanmoins, les responsables politiques interrogés estiment qu’une stricte application des lois existantes pourrait suffire à restructurer ce paysage.
Maguèye Kassé, membre du bureau politique du Parti de l’indépendance et du travail (PIT), souligne : « Si la loi était appliquée, on n’aurait pas plus de 200 partis dans ce pays. » Pour lui, la solution réside dans l’exigence du respect des critères légaux, tels que le fonctionnement effectif des instances dirigeantes et la publication des bilans financiers.
Dans cette optique, Ousmane Badiane, chargé des élections à la Ligue démocratique (LD), pointe une faille majeure : aucune formation, y compris celles au pouvoir, ne respecte actuellement l’obligation de dépôt des comptes. « Ni le parti ou la coalition au pouvoir, ni l’opposition ne s’y plient. Et comme personne ne le fait, il est difficile d’appliquer la loi de manière équitable », déclare-t-il.
TROP DE PARTIS ET ASSOCIATIONS POLITIQUES AU SÉNÉGAL
• Mon humble point de vue sur la question.
Le Zaïre de Mobutu, aux lendemains de la grande conférence nationale souveraine des années 80/90, comptait près de 257 partis, regroupements et associations politiques. Et, on avait tous trouvait cela énorme.
La France, que nous singeons en politique, qui est une grande démocratie, ne comptait sous François Mittérand que 55 partis et associations politiques.
Les États-Unis avec près de 290 millions d’habitants ne compte que deux grands partis : le Parti des Démocrates et celui des Républicains.
Aujourd’hui, le Sénégal caracole largement en tête de ces pays avec, je crois bien, plus de 270 formations et associations politiques.
C’est trop, énorme, excessif. Il faut rationaliser tout ça, mettre de l’ordre. Plus est, cette pléthore de partis et d’associations politiques coûte cher aux contribuables sénégalais quand il s’agit de confectionner différends bulletins de vote à l’occasion des élections.
Nous comprennons aussi pourquoi avec cette pléthore que la question du financement des partis et associations politiques au Sénégal soit toujours en suspens et tardent à trouver une réponse, une solution pour l’état.
Il faut revenir à la proposition du président Senghor qui suggérait calmement aux Sénégalais, au retour d’un sommet de l’international Socialiste, de limiter leur nombre aux seuls 4 courants vu aussi la taille démographique du Sénégal à l’époque (nous étions au début ou au vers la fin des années 70) :
1. Un courant socialiste incarné par son parti l’UPS/PS qui deviendra plus tard le PS (Parti Socialiste).
2. Un courant libéral incarné par le PDS (Parti Démocratique Sénégalais).
3. Un courant Marxiste-Léniniste incarné par le PAI originel (Parti Africain de l’indépendance).
4. Un courant panafricaniste incarné par le RND (Rassemblement National Démocratique).
Nous croyons que les partis et associations politiques de ce pays, dirigés par des intellectuels et patriotes de ce pays peuvent se retrouver pour discuter sur cette idée de Senghor.
Le Zaïre de Mobutu, aux lendemains de la grande conférence nationale souveraine des années 80/90, comptait près de 257 partis, regroupements et associations politiques. Et, on avait tous trouvait cela énorme.
La France, que nous singeons en politique, qui est une grande démocratie, ne comptait sous François Mittérand que 55 partis et associations politiques toutes obédiences confondues.
Les États-Unis avec près de 290 millions d’habitants ne comptent que deux grands partis : le Parti des Démocrates et celui des Républicains.
Aujourd’hui, le Sénégal caracole largement en tête avec, je crois bien, plus de 270 formations et associations politiques.
C’est trop, énorme, excessif. Il faut rationaliser tout ça, mettre de l’ordre. Plus est, cette pléthore de partis et d’associations politiques coûte cher aux contribuables sénégalais quand il s’agit de confectionner différends bulletins de vote à l’occasion des différentes élections.
Nous comprennons aussi pourquoi avec cette pléthore que la question du financement des partis et associations politiques au Sénégal soit toujours en suspens et tardent à trouver une réponse, une solution pour l’état.
Il faut revenir à la proposition du président Senghor qui suggérait calmement aux Sénégalais, au retour d’un sommet de l’international Socialiste, de limiter le nombre de partis aux seuls 4 courants vu aussi la taille démographique du Sénégal à l’époque (nous étions au début ou au vers la fin des années 70) :
1. Un courant socialiste incarné par son parti l’UPS/PS qui deviendra plus tard le PS (Parti Socialiste).
2. Un courant libéral incarné par le PDS (Parti Démocratique Sénégalais).
3. Un courant Marxiste-Léniniste incarné par le PAI originel (Parti Africain de l’indépendance).
4. Un courant panafricaniste incarné par le RND (Rassemblement National Démocratique).
Nous croyons que les partis et associations politiques de ce pays, dirigés par des intellectuels et patriotes de ce pays peuvent se retrouver pour discuter sur cette idée de Senghor toujours bonnes et actuelles.
Ce Mr Badiane est d’une malhonnêteté d’une intellectuelle avérée
Badiane, tu dis des contre- vérités ; je suis pas de pastef, ils ont toujours déposé leur bilan financier et les membres de l’ancien régime ne démentiront pas.pourquoi être toujours dans les manipulations.soyons sérieux et honnête.