Le mensonge politique est à lui-même sa loi, sa justification, son explication, et il est bien évident qu’on ne peut rien en dire de plus ou presque sauf à le blâmer.
Les critiques qui se penchent sur le mensonge politique et l’analysent pour le réduire à des motivations de divers ordres, emprisonner son sens dans des formules qui le condamnent toujours quasi-unanimement ou de pseudo-équivalences moralisatrices, substituer des rationalisations à son énigme (la vérité finira toujours par surgir), ne parviennent qu’à l’assécher de son sang : travail homicide de l’esprit. On comprend Gbagbo dans ce contexte.
En côte d’ivoire aujourd’hui, l’homme qui maîtrise bien cette pratique du mensonge politique serait, au yeux de Laurent Gbagbo, (il l’avait dit), lui-même écarté de la course à la présidentielle d’octobre 2020, le président Alassane Ouattara, l’exemple parfait du déni…
Ici, nous sommes en 2010, le président Gbagbo, face aux journalistes de France 24, répondant à une question évoquant le nom d’Alassane Ouattara, le traitait de menteur. Description de son rival qui convenait bien à ces yeux à cet date et voilà qu’il semble avoir raison face à la volte-face d’Ado qui va briguer une troisième candidature contre sa parole d’hier.
Il n’y a sans doute pas de réponse définitive à en donner, d’interprétation fermée à en livrer. Soit ! Mais il importe de ne pas se laisser distraire de la question tant le jugement sur le mensonge semble convenu…
« Le langage politique est conçu pour que les mensonges paraissent vrais et les meurtres respectables, et pour donner à du vent l’apparence de la solidité », n’est ce pas disait George Orwell.
Alassane a decu vraiment
alasane wattaras il est plus que menteur il degaseras pas un yotta des listant que la france qui la intalè ne la pas donner les instructions de quitter. il est un vraie lobie nos chef detats il ne valent rien il sont vendu ce continent cest la dictature mondiale les riches toujour riches les pauvres toujour pauvres ainsi faites cette monde .
Il faut analyser avec pertinence et qu’importe de prédire.Si l’appareil politique post indépendance ne se renouvelle pas de sans neuf, voila forcément ou cela débouche. Les mêmes se tiraillant et se traitant de tous mots, maux et vices.