Aide alimentaire d’urgence : Après l’opacité sur les marchés du riz et de l’huile, le deal du sucre
On n’a pas encore fini de spéculer sur les marchés du riz et de l’huile destinés à l’aide alimentaire d’urgence, dans le cadre de la mise en oeuvre du programme résilience économique et sociale, qu’un autre « scandale » éclabousse le marché nébuleux du sucre. A en croire les informations de Walf Quotidien, l’État paie plus cher que les prix qu’il a homologués.
Au moment où le prix du sucre est fixé à 575 000 F Cfa la tonne, le gouvernement a décidé de violer ce dispositif en l’achetant chez certains commerçants et affairistes peu connus dans la distribution de produits alimentaires à 690 000 Fcfa la tonne.
Soit une perte de 160 000 F Cfa sur la tonne par rapport au prix acheté au niveau de la Compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS), mais également un écart d’au moins 1 milliard 500 millions F Cfa.
Le sucre payé sans taxe douanière, encore moins la Tva, pourrait revenir à 350 000 F Cfa, la tonne à ces commerçants qui ont raflé le marché.
Ce qui leur permet d’avoir un bénéfice de 340 000 F Cfa la tonne. Et, sur la totalité de la cargaison, ils auront touché un pactole de 3 milliards 323 millions F Cfa.
Dans cette hypothèse, ils auront surfacturé de plus de 100%, alors qu’ils ne disposeraient présentement d’aucun gramme en stock, si ce n’est ce fameux droit d’importation en produits alimentaires (Dipa).
De plus, si le sucre cristallisé est vendu aux prix annoncés, l’acheteur aurait violé la réglementation, puisque les prix du sucre sont homologués et ne peuvent avoir aucune variation à la hausse, à 530 420 F Cfa, prix usine et 575 000 F Cfa la tonne au détail.
Les distributions massives de nourriture, on se croirait pendant la grande guerre 14-18. Il n’y a que nos vieux politiciens vereux pour pratiquer cette méthode populaire indiscrète. Un choix tordu pour s’enrichir, fixer de futurs élécteurs et brouiller la commission des « suiveurs » plus préoccupés à trouver un bon resto..
Pourquoi ces aides alimentaires n’ont pas été distribuées par bons, ça nous aurait permis d’économiser et sur les frais de transports mais d’éviter cette cacophonie et ou ce débat inutile puisque l’heure est à l’urgence .
Parce qu’on est des imbéciles de première catégorie.
On fait partie de ces pays de merde.
Ainsi va le senegal
Que voulez vous
Ça ne changera jamais
Et pourtant vous disiez que le régime a donné les ressources de ce pays aux français
Maintenant vous vous attaquez aux sénégalais
Au fond vous êtes mauvais
Vous ne voulez rien pour personnes
Que Dieu maudisse celui qui a un mauvais cœur
Surtout une certaine presse
Vous êtes bizarre vous avez accusé le régime d’avoir donné nos ressources aux Français
Maintenant des Senegalais pour vous ne doivent pas gagner des marches chez eux
En résumé vous d’une certaine presse vous êtes mauvais
L’idéal aurait été de baisser drastiquement les prix des denrées ce qui profiterait à tous les Sénégalais. Mais si on préfère la magouille et l’ostracisme le « Nguistal » on n’y peut rien. Vous avez vu Maky Sall se dandiner devant ces tonnes de riz. Nguistal rek. C’est regrettable
Quelle est votre cible
Au senegal dans le milieu rurale ceux qui ne peuvent racheter régulièrement 1 kg de riz sont plus nombreux
Ton idée est celle du senegalais moyen qui ne pense qu’à son confort
Quelle est votre cible
Au senegal dans le milieu rurale ceux qui ne peuvent racheter régulièrement 1 kg de riz sont plus nombreux
Ton idée est celle du senegalais moyen qui ne pense qu’à son confort
Pourquoi ces aides alimentaires n’ont pas été distribuées par bons, comme la fait Barthélémy Diaz, ça nous aurait permis d’économiser et sur les frais de transports, et en terme de timing ,mais surtout d’éviter cette cacophonie, et ou ce débat inutile puisque l’heure est à l’urgence. Où en sommes nous sur l’autosuffisance alimentaire en riz… et pourquoi pas ressusciter la caisse de péréquation et de stabilisation des prix, la Sonadis et implanter des magasins témoins.
Mais bien sûr qu’il urgait d’agir très vite, donc dans l’avenir il faudrait éviter de faire les choses dans l’improvisation et la précipitation.