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Affrontements chez le leader du Pastef : "Nous ne sommes pas venus chercher Sonko" (Police)

C’est le commandant qui dirige les éléments de la police actuellement chez Ousmane Sonko qui vient de faire certaines précisions. Il souligne que les policiers ne sont pas venus chercher le leader de Pastef.

Eclairages de la police

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« Nous ne sommes pas venus chercher Ousmane Sonko. C’est juste le rassemblement sur la voie publique qui est interdit», a-t-il déclaré au micro des journalistes.

Refus de déférer à la section Recherche

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Pour rappel, Ousmane Sonko avait confié hier dimanche, qu’il n’irait pas déférer à la convocation de la Brigade de recherche sur la plainte viol présumé dans laquelle il est cité. Il a demandé à la gendarmerie de respecter la procédure en passant par l’Assemblée nationale pour lever son immunité parlementaire.

Militants boucliers

Ce lundi, ses militants sont venus s’amasser devant la porte de sa demeure pour s’opposer à son interpellation. Les forces de l’ordre tentent de les disperser à coups de grenades lacrymogènes. La tension y est toujours vive.

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11 commentaires

  1. Lamine Diop

    Comment quelqu’un qui porte l’uniforme peut mentir en public de la sorte ?


    Malheureusement le ridicule ne tue pas comme le Corona sinon il ne resterait plus d’hommes de tenues au Sénégal.


  2. omar diedhiou

    il est inadmissible dans le contexte ou nous sommes de créer des tensions; le monde souffre et a droit au cœur de cette pandemie de la covid 19 ;pensons aux malades et aux disparus; la mort n epargne personne nous allons y tous gouter il faut qu on sache que nous sommes sur terre pour une mission apres mission on retourne de 2012a nos jours on a perdu combien d hommes politiques combien de guides religieux


  3. Babacar Diouf (USA)

    Effectivement tout rassemblement est interdit durant cette pandemie rampante. Donc, il serait inadmissible de laisser ces fanatiques du Pastef contribuer a une possibilite de contamination communautaire par ce rassemblement. Si vous n »avez rien a vous reprocher, laisser la justice suivre son cour.


  4. Noirebene

    Té nguèna tek licci souf, soulène worééé ni les arguments ne sont pas fondés bala mouy eupe lokho waw bakhna daal . Corona gui rek doyna niou seuk ba eupe.


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