Un second mandat pour l’Histoire: L’appel au dialogue, expression du leadership éclairé du Président Macky SALL. Par Hady Traoré*

Dans son premier discours post électoral, à la suite de la proclamation définitive des résultats du scrutin du 24 février 2018, par le Conseil constitutionnel, le Président de la République Macky SALL a lancé un vibrant appel au dialogue à l’endroit des acteurs politique, aux membres de la société civile et à l’ensemble du peuple.

Maintenant que le Sénégal s’achemine vers une autre phase importante de son histoire, le signal fort du Président de la république en faveur du dialogue devrait permettre de taire nos divergences d’opinions et faire de sorte que notre « commun vouloir de vie commune » se reflète dans toute action politique.

Convaincu que c’est dans le dialogue que nous construirons et bâtirons ensemble un Sénégal plus prospère, le Président de la République a réitéré sa volonté de n’exclure personne dans la bonne marche du pays.

Le dialogue est aujourd’hui une nécessité politique et un impératif pour la consolidation des acquis du septennat écoulé.

Aussi, l’appel du chef de l’État consiste-t-il à créer un cadre inclusif et continu qui serait le nouveau Contrat social entre les acteurs politiques de la majorité et ceux de l’opposition.

C’est parce que le Président Macky SALL a compris que la démocratie tout comme la paix, loin d’être un bien définitivement acquis, est une construction dynamique permanemment perfectible.

En outre, l’instauration de plusieurs cadres de concertation et l’institutionnalisation du 28 mai comme « Journée nationale du dialogue » constituent autant de preuves de la constance du Président de la république dans son appel au dialogue.

Nonobstant un combat politique acharné, signe de la vitalité démocratique sénégalaise, il est à féliciter que notre pays connaît un climat apaisé qui fait dire aux observateurs que le Sénégal est un îlot de paix comparé à certaines parties de l’Afrique.

Cette appréciation positive est un motif de fierté pour notre nation. Elle est également une marque de reconnaissance à la classe politique en général et en particulier au leadership éclairé du Président Macky SALL qui contribue, à travers son attachement au dialogue républicain comme principe de gouvernance, à stabiliser le Sénégal et lui conférer une excellente image à l’international.

C’est donc à juste titre que nous saluons l’engagement du Président Macky SALL dans la promotion des cadres de concertation et de dialogue.

Au regard de ce précieux acquis, aucune surenchère politicienne, aucune volonté d’assouvissement des ambitions égoïstes ne saurait être érigée en obstacle au dialogue.

Nous attendons donc que tous les acteurs y aillent dans un esprit de compromis.

En effet, il y a dans l’histoire des peuples des moments à marquer d’une pierre blanche. Et nous voulons croire que cet appel du Chef de l’État est l’un d’entre eux.

En tous les cas, les signaux laissent plutôt à penser que chacun est prêt à saisir l’opportunité du dialogue pour que précisément, la chaise vide ne soit pas une manière dilatoire de faire durer cet état des faits inacceptables à nos yeux.

Par voie de conséquence, s’il y en a qui pourrait encore hésiter à répondre à la main tendue du Président de la République, nous croyons qu’il faudrait que ceux-là comprennent que ne pas aller au dialogue, c’est se mettre au ban de l’histoire et donc s’interdire l’opportunité de pouvoir faire quelque chose de bien pour le Sénégal, c’est-à-dire lui donner toutes les chances d’aller vers un développement inclusif.

Notre formation politique est, encore plus, convaincue et déterminée à étendre les vertus et les valeurs du Dialogue comme seule voie indispensable de faire participer tous les Sénégalais à l’élan de développement pris par Macky Sall depuis son accession à la magistrature suprême.

A présent, c’est le moment de montrer au monde que nous pouvons réaliser de grands exploits lorsque nous nous mettons ensemble.

*Coordonnateur fédéral de la DSE APR Canada

1 COMMENTAIRE
  • tougnoum gueulem

    Cessez de déifier le président laissez-le mettre ses pieds sur terre et travailler pour les senegalais

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