« Si je pouvais avoir votre nom et votre pays, ce serait super. » C’est en ces termes que Donald Trump, alors président des États-Unis, s’est adressé à l’un de ses invités lors d’une rencontre officielle avec des chefs d’État africains. En l’occurrence, il s’adressait au président de la Guinée-Bissau, juste après l’intervention de son homologue mauritanien.
Cette scène, captée par les caméras, a fait le tour du monde et suscité de vives réactions. Car elle traduit non seulement une méconnaissance manifeste des dirigeants africains présents, mais aussi un certain manque de considération pour les usages diplomatiques les plus élémentaires.
Le président américain semblait ne pas connaître l’identité de ses interlocuteurs, pourtant invités dans un cadre formel. Une telle attitude, perçue comme condescendante par certains observateurs, a été interprétée comme une illustration de l’amateurisme ou de l’indifférence de Trump à l’égard des relations avec le continent africain.
En diplomatie, les détails comptent. Et dans ce cas précis, le détail d’un nom oublié ou non préparé en amont a suffi à dévoiler un certain malaise dans la manière dont l’administration Trump considérait ses partenaires africains
🇺🇸🌍 Trump face aux présidents africains :
« Si je pouvais avoir votre nom et votre pays, ce serait super. »C’est ainsi que le dirigeant américain s’est adressé au président de la Guinée-Bissau, juste après le discours du président mauritanien.
Donc il ne connaissait même… pic.twitter.com/PBQ556D4Hw
— AES Alerte (@Aesalerte) July 10, 2025
Cnest un imbécile ce Trump…. Boudonn mann leu ma guédd ndeimmmm