Un an de Diomaye : le MONDIS salue des avancées, mais alerte sur le coût de la vie…

Après une année de gouvernance, le Mouvement pour la Défense des Intérêts du Sénégal (MONDIS) a dressé un bilan à mi-parcours du régime du président Diomaye. Le président Abdou Khadre Ndiaye et ses camarades ont salué les efforts consentis en matière de sécurité publique, notamment à travers les mesures prises pour réguler le temps et la durée des combats de lutte, un facteur d’insécurité longtemps décrié en raison des dégâts collatéraux, tels que les scènes d’agression.
Le MONDIS se félicite également de la présence dissuasive des forces de l’ordre dans certaines zones réputées dangereuses. Des avancées ont également été notées dans le secteur agricole, grâce au travail accompli sur le terrain par le ministre Mabouba Diagne. En effet, la sécurisation de la distribution des semences et la mise en place de coopératives agricoles contribuent à améliorer les rendements et à assurer le développement du secteur, en phase avec les préoccupations du monde paysan et des agriculteurs en général.
Cependant, le président Abdou Khadre Ndiaye exhorte le gouvernement à mettre davantage l’accent sur l’allègement du panier de la ménagère. Le MONDIS constate avec regret la flambée des prix des denrées de première nécessité, dans un contexte où de nombreux pères et mères de famille sont licenciés massivement.
Par ailleurs, les partisans du MONDIS, très soucieux de la cohésion nationale, invitent les acteurs politiques de tous bords à placer les intérêts du pays au-dessus de toute considération partisane, dans un esprit démocratique visant à éviter les tensions. Dans ce sillage, un appel est lancé au pouvoir pour qu’il n’abuse pas de la justice pénale, afin d’éviter les arrestations et emprisonnements à caractère politique.
Pour autant, le MONDIS invite l’opposition à privilégier le dialogue et la concertation plutôt que la politique de la chaise vide. Le président Abdou Khadre Ndiaye appelle l’opposition parlementaire à jouer pleinement son rôle, notamment en contrôlant l’action du gouvernement et en rappelant à l’État les attentes des Sénégalais, au lieu de se livrer à des boycotts systématiques.