Publicité

UCAD - Notes gonflées contre argent et sexe : Un étudiant passe aux aveux, un complice recherché

Un vaste réseau de falsification de notes a été mis au jour à l’UCAD, impliquant des échanges d’argent et de faveurs sexuelles. Au cœur de l’affaire, un ancien contractuel de la Faculté, en fuite, et un étudiant en Master II, arrêté à son retour d’Allemagne et passé aux aveux. Tandis que la justice poursuit son enquête, plusieurs étudiants risquent de lourdes sanctions académiques et judiciaires.

Un scandale de falsification de notes a éclaté à la Faculté des Lettres de l’UCAD, impliquant des échanges d’argent et de faveurs sexuelles connait des développements.

Publicité

Doudou Faye, ancien contractuel chargé de la gestion des notes, proposait d’augmenter les moyennes d’étudiants moyennant paiement. Victor Mathieu Moundor Diouf, étudiant en Master II, servait d’intermédiaire en recrutant des clients contre une commission.

En fuite depuis novembre 2024, Doudou Faye est visé par un mandat d’arrêt international. De son côté, Victor Mathieu Moundor Diouf, arrêté à son retour d’Allemagne, a avoué son implication et son rôle d’intermédiaire entre plusieurs étudiants et Faye, selon Libération.

Publicité

Une liste des bénéficiaires de la fraude a été transmise aux autorités académiques. Au-delà des sanctions disciplinaires, les étudiants impliqués risquent des conséquences judiciaires pour avoir entaché l’image de l’UCAD.

Votre avis sera publié et visible par des milliers de lecteurs. Veuillez l’exprimer dans un langage respectueux.

Dans le même thême

7 commentaires

  1. Irambi Ndiaye

    Allez a Diamniadio ou l autorite à brade toutes les terres pas de ruelles,ni d espaces favorisant des inondations monstres,et une saleté enorme


  2. Anonyme

    La fraude, la magouille et le micmacs s’étendent à tous les rouages du système. Nous sommes un peuple de prédateurs, de voyous, d’irresponsables et de brigands, des inconscients soucieux de leurs seuls intérêts particuliers

    et qui ne réculent devant rien! Même dans les ruelles de nos bas quartiers les gens grignotent sur l’espace public et étendent nt leurs constructions et domaines n jusqu’au delà des voies publiques, Il n y a presque plus de passage, les gens construisent comme au cimetière, dans un désordre parfait, sans allées ni passage possible de pompiers, de cars d’incendies ou de collectes d’ordures. Il faut que les fonctionnaires sortent de leurs bureaux pour aussi gérer convenablement ce pays en danger gravissime d’auto-destruction systemique


Laisser un commentaire