Me Ciré Clédor Ly, l’avocat des inculpés, avait introduit une demande de liberté provisoire pour 26 prévenus, dans l’affaire du massacre perpétré dans la forêt de Bofa-Bayotte en 2018. Mais, le juge de la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Ziguinchor a rejeté la demande de liberté provisoire. Ces personnes inculpées devront encore attendre pour sortir de prison où elles séjournent depuis plus de 2 ans.
Rappel
Selon la robe noire, pour un procès équitable, le juge d’instruction doit entendre l’actuel chef d’état-major des armées, mais aussi le directeur de la télévision nationale.
Les faits
Le 6 janvier 2018, des hommes armés dans la forêt classée du Bayotte-Est, non loin de Boffa-Bayotte, un village situé en Basse-Casamance, ont attaqué des individus et ont tué 14 d’entre eux. Quelques jours après ce drame qui a ému tout le Sénégal, les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation d’une vingtaine de personnes. L’armée avait également procédé à des opérations de « nettoyage » de la forêt casamançaise.
Qu’ils périssent en prison ces batards armes
Voilà un vrai sujet que certains activistes ne parlent jamais , chiens errants
Forces doit rester à la loi.Ces gens sont des criminels.
Pauvres rebelles… J’attends que Sonko, Guy marius Sagna et Sadio demandent que rebelles déposent les armes. Ils sont pressés de critiquer un député qui a dérapé mais ils restent muets quant il s’agit des criminels du MFDC