Le premier ministre de la Tunisie, Mehdi Jomaa, a évoqué la nécessité de recourir au vote pour choisir le prochain secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Croisé dans un hall du centre de conférence où les membres sont réunis, M. Jomaa a affirmé qu’un vote pourrait être nécessaire.
De son côté, un des adversaires de Michaëlle Jean, dans la course à la tête de l’OIF, a estimé dimanche que les règles entourant le choix du secrétaire général devaient être revues.
À quelques heures de la décision, avant la clôture du sommet de la francophonie, Henri Lopes, ambassadeur du Congo à Paris, a toutefois réservé ses précisions pour plus tard.
Mme Jean et M. Lopes sont au nombre des cinq candidats qui aspirent à la succession de l’actuel secrétaire général, Abdou Diouf, qui conclura prochainement un mandat de 12 ans à la tête de l’OIF.
RCI