Les avocats occupent de plus en plus les médias, pour communiquer sur des affaires pendantes, parfois même dans des dossiers, auxquels ils ne sont pas constitués. Me Pape Leyti Ndiaye, bâtonnier de l’ordre, veut mettre fin à ses sorties. Il rappelle à ses confrères leurs règles déontologiques et menace de sanctionner les récalcitrants.
Avertissement
« Ces derniers temps, l’Ordre a constaté, avec regret, des interventions désordonnées et peu reluisantes de quelques uns de ses membres dans les médias, généralement sur des affaires pendantes ou en voie de l’être, devant les cours et tribunaux », déclare le bâtonnier de l’ordre des avocats.
Ces interventions médiatiques constituent souvent des infractions aux dispositions de notre règlement intérieur, dit-il. Alors que « les avocats doivent être les premières sentinelles du respect scrupuleux de leurs règles professionnelles. »
Me Pape Leyti Ndiaye demande donc aux avocats de se conformer aux dispositions de l’article 26 du règlement intérieur. Et annonce des poursuites judiciaires à l’encontre de ses confrères qui méconnaissent cette disposition.
Article 26 du Règlement intérieur
Aux termes de l’article 26-1 du Règlement Intérieur de l’Ordre des Avocats du Sénégal, « toutes déclarations ou manifestations publiques relatives à une affaire en cours sont formellement interdites à l’avocat. Cette interdiction ne peut être levée que par autorisation écrite du Bâtonnier, soit pour rétablir l’équilibre entre les parties au procès, soit en cas de violation flagrante de la loi. »
L’avocat « désireux de participer à un débat télévisé, relatif à une affaire en cours, doit en informer au préalable le Bâtonnier en lui fournissant le maximum d’informations sur le format de l’émission et obtenir son autorisation », mentionne expressément l’alinéa 3 dudit article.
Malgré cette interdiction de principe, il est permis aux avocats de répondre à la Presse après une audience pour informer le public. « L’avocat constitué dans une cause peut répondre à des interpellations de journalistes après une audience publique pour sacrifier exclusivement au droit à l’information du public », précise l’article 26-2 dudit règlement intérieur.
y a autres choses a regler dans ce pays,les imsulteurs.Il faut que letat oblige les journalistes qui protege les insulteurs car protege les insulteurs cest pas proteger ces souces dinformations. Donc SENEGO doit prendre sa responsabilites de ne plus publier les insulteurs insulter les gens cest pas de la democratie cest plutot de limbecilite par excelence.vous pouvez minsulter.SAGHA deukoul fimoudieume.mais mingui deuk fiimoudioguei
Quand Me El hadji Diouf organisait des conférences de presse un peu partout, vous étiez muet et lorsque des Avocats ont commencé à le répondre pour démontrer aux sénégalais les mensonges de vieux caméléon, c’est en ce moment que vous vous indigniez. Vous croyez que c’est comme ça qu’on gouverne un pays. Espèce de margouillat.
Qu’il Baise sa mère ce Leyti Ndiaye. Un fils de pute de corrompu et ami de macky sallE. Guemo touss inshallah tu iras direct en enfer sale chien. toi et Abdoulaye Thiam de computer land vous finirez très mal. Votre heure viendra
Ce sont des avocats sui n honorent pas la profession le bâtonnier a raison
ET LE CAS KHALIFA SALL, MAITRE IL FAUT ETRE JUSTE POUR RENDRE JUSTICE.MAITRE IL FAUT PAS ETRE COMPLICE D’UN PUOVOIR . MAITRE POUR UNE FOIS IL FAUT PARLER SUR D’AUTRES SUBETS..
Vous en avez mis du temps. Ou etiez vous pendant tout ce temps là?
Merci maître il est temps