La saisie de ses terres à Bambilor n’est pas du goût du marabout Serigne Modou Kara Mbacké, qui a adressé à ce propos, une correspondance au président Macky Sall.
« Depuis 1984, je suis propriétaire d’un terrain d’une superficie de 11 hectares situé à Bambilor. Ce terrain a été mis en valeur avec l’implantation d’arbres fruitiers, d’une exploitation de couture et d’une ferme avicole. Depuis cette date, ma famille y est installée et assure l’entretien et l’exploitation », écrit Serigne Modou Kara dans sa lettre ouverte.
Il rappelle qu’en 2011, «une procédure de régulation a été enclenchée au niveau de la direction des Impôts et Domaines. Un avis favorable avait été émis par le directeur général à l’époque ».
Toutefois, Kara de constater que « suite à l’élection présidentielle de 2012, et de l’arrivée du nouveau régime, la procédure pour la délivrance du titre de propriété n’a pas été finalisée, certainement du fait des changements intervenus dans cette administration ».
En guise de conclusion, il souhaite que le chef de l’Etat « instruise les services compétents pour finaliser cette procédure de délivrance de titre de propriété et ainsi de faire respecter le droit d’un citoyen très à cheval sur lois et règlements en vigueur dans notre cher pays le Sénégal ».
walf
khanaa waa mbambilor bougouniou dara onze het si soufou jambour kara bayil togne
Ki yabatéwoul mbambilor sa baye amoufa dara ngani. Danguay. Réclamée ape térrain senegalai yi yéwoulén kara beugoumala saga waye boulnou yape démal touba ngua réclame fa sa souffou baye wa mbambilor ñiolako gueneu sokhla maky bofi. Dagué souff pour kara danou. Katsa mame inbécile
Depuis 1982 à 2000, Serigne Ahmadou Kara exploite des terres à travers le pays au Walo (Moundome-barrage, Lampsar) à Gorome 2, Bambylor, Nguékokh, Malem Hodar, Mboro, etc… au profit d’une jeunesse citadine désoeuvrée. C’est ainsi qu’il a formé d’innombrables jeunes au travail de la terre et à l’élevage. Et ces productions ont toujours été réinvesties dans l’oeuvre de Serigne Touba, pour qui connaît bien l’homme. Pendant qu’il effectuait ce travail, un grand nombre des hommes de l’Etat actuel étaient des élèves à l’école, beaucoup de « guides religieux » aujourd’hui étaient encore au daara. Arrêtez les jalousies et rancoeurs qui ne mèneront le Sénégal nulle part.
Kara bayiil sa feen yii / teega may ñuu dieam
Sur ces terres, Serigne Kara y a formé d’innombrables jeunes sénégalais à l’agriculture et à l’élevage. Aujourd’hui, ils veulent lui reprendre au profit des promoteurs immobiliers. Depuis 1982 à 2000, le même Kara a exploité des champs entre le Walo (Mboudome-barrage, Lampsar, Gorom 2, Nguékokh, etc… ) au profit d’une jeunesse citadine désoeuvrée. Les produits de ces cultures ont toujours servies aux oeuvres de SERIGNE TOUBA. Faites vos enquêtes, on vous le dira. Malheureusement, le remède pour les jaloux n’existe pas.