En Géorgie, la présidente sortante Salomé Zourabichvili a affirmé le dimanche 29 décembre qu’elle était « la seule présidente légitime » du pays. Cette déclaration intervient le jour où son successeur doit être investi, un candidat affiché loyal au gouvernement actuel.
Face à une foule de partisans réunis devant le palais présidentiel, Zourabichvili a pris la parole pour exprimer sa position. Elle a insisté : « Je reste la seule présidente légitime de la Géorgie ». Elle a également annoncé son intention de quitter le palais présidentiel afin d’être aux côtés de ses soutiens, emportant avec elle, selon ses mots, « la légitimité, le drapeau et votre confiance ».
La scène politique géorgienne est actuellement marquée par des manifestations de l’opposition pro-européenne, reflétant les tensions qui entourent cette transition présidentielle. Les faits et les déclarations rapportés ont été lus sur le site de notre confrère Sud Quotidien, où la situation a été largement couverte. Pour comprendre les implications de cette transition, le contexte dans lequel ces événements se déroulent est essentiel.
