À une semaine du Grand Magal, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a effectué une visite à Touba, où il a assuré le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, du soutien de l’État à plusieurs projets majeurs.
« Nous sommes au courant de votre projet de réhabilitation de la grande mosquée de Touba. Nous sommes convaincus que les talibés peuvent en assurer la prise en charge, mais vous pouvez également compter sur l’État », a déclaré le chef de l’État, s’adressant au guide religieux en wolof.
Il a également renouvelé l’engagement du gouvernement à accompagner le programme éducatif de l’Université Cheikh Ahmadoul Khadim, qu’il a qualifiée de « creuset d’excellence ».
Accompagné de son épouse Absa Faye, de son directeur de cabinet Mary Teuw Niane, et de plusieurs membres du gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur Jean Baptiste Tine, le président Faye a salué le rôle des guides religieux dans la cohésion sociale du pays, en insistant sur l’importance particulière de Touba dans ce processus.
En retour, le khalife général, par la voix de son porte-parole Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké, a exprimé sa reconnaissance pour « les efforts consentis en vue d’une bonne organisation du Magal », les travaux d’amélioration du cadre de vie à Touba, et la reconnaissance officielle du Magal comme « patrimoine culturel immatériel national ».
Parce que la france en qui tu te réfère est un pays qui a fait une guerre civile pour sortir l’eglise de la vie des citoyens, l’allemagne, les USA etc … L’église occupe la même place que l’islam au Sénégal. donc dégages.
Les ecoles privées catholiques ne paie pas d’IS car elles sont considérées comme des associations « religieuses » donc nous payons également nos impots pour que l’église au sénégal (puisque les ecoles catholiques sont sous sa tutelle) ne puisse pas payer l’impôt.
Donc les impôts que je paye contribuent à financer des activités religieuses d’ordre privé ? C’est bien cela ?
L’Allahïcité sénégalaise.