Boubacar Camara était l’invité de l’émission JDD, ce dimanche sur IRadio. Il s’est prononcé le cas du leader de Pastef, Ousmane Sonko, et les méthodes utilisées contre lui.
Boubacar Camara dit ne pas être d’accord avec les méthodes de Sonko, mais a fait part de son désaccord face aux moyens utilisés pour écarter ce dernier de la présidentielle de 2024. « Je ne suis pas d’accord avec Sonko, sur ses méthodes de lutte… Je ne suis pas d’accord avec lui sur le recours à la violence… Mais je suis totalement et parfaitement d’accord avec lui sur le problème de fond« , a soutenu le candidat à la présidentielle de 2024.
Sur la base de la radiation…
Pour lui, « l’interprétation de la contumace n’appartient pas au ministre de la justice encore moins à l’exécutif… C’est au juge de décider. Et c’est sur la base de cette interprétation qu’ils ont décidé de la radiation. Et, c’est sur la base de la radiation qu’un autre ministre décide souverainement de ne pas remettre des fiches de parrainage. Tout est arbitraire dans cette affaire« .
« Voilà cette rupture politique…
« Je partage parfaitement le projet incarné par Ousmane Sonko et qui concerne la souveraineté sur nos ressources naturelles, la transformation industrielle de notre économie, l’exploitation judicieuse de toutes nos richesses, la gouvernance transparente et le capital humain qui dérange… Voilà cette rupture politique, économique, sociale de paradigme et qui est acceptée par une majorité de Sénégalais qui en ont marre de l’ensemble de ces 63 ans de stagnation malgré quelques efforts par ci et par là. Le mérite de Sonko et l’ensemble de la nouvelle opposition politique c’est d’incarner la vraie rupture par rapport à l’ancien régime et à ses béquilles« , soutient-il.
Ousmane Sonko avant il n’a jamais appelé à la violence, avant toutes les persécutions sur sa personne il parlait de son programme et dénonçait les malversations de ces voleurs qui pillaient notre pays depuis plus 60 ans, ensuite il à été persécuté et privé de ses droits les plus fondamentaux épais il c’est tout simplement défendue avant d’être brusquement basculer dos au mur même sodon mouss la sakh dana réagir. Le Sénégal est devenu un pays dictatorial et si aujourd’hui est le tour de Sonko bientôt sara la tour de tout le monde
Des complexes de yolom guenio
Effectiviement c’est l’Etat qui l’a amené de force à Sweet B…
Mr CAMARA,je pense que c, est l, état qui a poussé MR SONKO a adopter cette forme de lutte.on se rappelle bien ses débuts en politique,il ne faisait que des débats d,idees