PM Ousmane Sonko à l’Assemblée : un moment clé pour traduire en actes la promesse de criminalisation de l’homosexualité*
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À M. l’Honorable Député El Malick Ndiaye, Président de l’Assemblée nationale
La venue du Premier ministre Ousmane Sonko : un moment clé pour traduire en actes la promesse de criminalisation de l’homosexualité
Monsieur le Président,
L’histoire d’un peuple se forge dans les moments où la parole donnée se transforme en acte législatif. La venue prochaine du Premier ministre Ousmane Sonko devant l’Assemblée nationale constitue un tournant décisif pour notre pays. Cet événement doit être l’occasion de concrétiser une promesse de campagne qui résonne profondément dans le cœur des Sénégalais : la criminalisation de l’homosexualité.
L’Islam, socle de nos valeurs, condamne fermement l’homosexualité
Le Sénégal est une nation dont plus de 96 % de la population est musulmane. L’Islam, qui guide la majorité de nos citoyens, se positionne sans équivoque sur la question de l’homosexualité.
Le Saint Coran, parole révélée d’Allah, évoque explicitement cette pratique et la condamne :
« Commettrez-vous l’infamie comme nul parmi les mondes ne l’a jamais commise avant vous ? Vous assouvissez vos désirs charnels avec les hommes au lieu des femmes ! Vous êtes un peuple transgresseur. »
(Sourate Al-A’raf, 7:80-81)
Le récit du prophète Loth (Lut), maintes fois cité dans le Coran, rappelle le sort des peuples qui ont sombré dans ces pratiques. L’homosexualité est considérée comme une perversion majeure et une atteinte aux lois divines.
Dans les enseignements prophétiques (hadiths), le Prophète Muhammad (paix et bénédictions sur lui) a été catégorique :
« Celui que vous trouvez en train d’accomplir l’acte du peuple de Loth, tuez l’auteur et son complice. »
(Rapporté par Tirmidhi et Ibn Majah)
Cette position est partagée par l’ensemble des grandes écoles de jurisprudence islamique (Malikite, Hanbalite, Chafiite, Hanafite), qui s’accordent à voir en l’homosexualité un péché grave nécessitant une sanction exemplaire.
Préserver notre société contre la décadence morale
Le Sénégal, en tant que nation souveraine, ne doit pas céder aux pressions étrangères prônant une idéologie contraire à nos principes.
L’homosexualité ne saurait être considérée comme un droit à normaliser dans un pays où les valeurs religieuses, culturelles et traditionnelles sont le socle de la société. La famille, cellule fondamentale de notre communauté, repose sur l’union sacrée entre un homme et une femme.
Loin d’être un simple débat moral, cette question engage la pérennité de notre identité nationale et la cohésion de notre société. L’histoire nous enseigne que les nations qui ont renoncé à leurs valeurs au nom d’une modernité biaisée finissent par perdre leur âme.
Une attente populaire, une responsabilité historique
Monsieur le Président,
L’écrasante majorité des Sénégalais réclame cette loi de protection morale et sociale. Les voix du peuple, des chefs religieux et des leaders d’opinion s’élèvent d’une même clameur pour dire non à l’homosexualité.
D’ailleurs, plusieurs pays africains ont déjà adopté des lois strictes criminalisant l’homosexualité, affirmant ainsi leur attachement aux valeurs religieuses et culturelles. Parmi eux :
Mauritanie : L’homosexualité est passible de la peine de mort.
Nigeria : Dans plusieurs États appliquant la charia, les actes homosexuels peuvent être punis de la peine capitale.
Ouganda : Une loi de 2023 prévoit la peine de mort pour les « cas aggravés » d’homosexualité.
Tanzanie : L’homosexualité est illégale et peut entraîner jusqu’à 30 ans de prison.
Soudan : La législation prévoit des peines lourdes, pouvant aller jusqu’à la peine de mort.
Le Sénégal, pays de foi et de traditions, ne saurait être une exception à cette dynamique de protection morale.
L’Assemblée nationale, en tant qu’institution dépositaire de la volonté nationale, a le devoir de traduire cette aspiration en législation.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a pris un engagement ferme en faveur de cette loi.
L’heure est venue de passer de la parole aux actes.
Une interpellation solennelle : un cri du cœur d’un citoyen
Monsieur le Président,
Moi, Cheikh Ahmed Tidiane Ly, citoyen sénégalais, musulman convaincu, attaché aux valeurs de ma patrie, je vous interpelle avec tout le poids de ma conscience et de ma foi.
J’ai voté pour le Président Bassirou Diomaye Faye, porté mon espoir vers lui, et l’une des raisons principales qui ont guidé mon choix était cette promesse sacrée : la criminalisation de l’homosexualité, annoncée par le Président du PASTEF, Ousmane Sonko.
Ce n’était pas une simple parole électorale, c’était un pacte moral, un engagement devant Dieu et devant la nation.
Aujourd’hui, je refuse que cette promesse soit reléguée au rang des discours oubliés.
Je refuse que notre Assemblée nationale détourne les yeux devant une question aussi cruciale.
Je refuse que les générations futures héritent d’un Sénégal où nos valeurs seraient diluées dans le relativisme et l’égarement.
Monsieur le Président, l’histoire vous regarde, le peuple vous regarde, et Dieu, le Très-Haut, vous observe.
Vous avez entre vos mains l’honneur et la dignité de notre nation.
L’heure n’est plus aux discours, mais aux actes.
Que Dieu vous éclaire et vous guide dans cette mission historique.
*Cheikh Ahmed Tidiane Ly, un citoyen soucieux de l’âme de sa nation
Yewi avait fait campagne autour de ce thème lors des législatives de 2022, aidé en celà par Jamra. Maintenant qu’ ils ont le pouvoir, l opposition doit déposer un projet de loi dans ce sens pour démontrer au peuple sénégalais l’hypocrisie de Pastef. En réalité, yewi voulait mettre Macky Sall dans une position inconfortable avec ses partenaires au développement. Aujourd’hui c’est à l opposition de retourner la balle à ces délinquants et hypocrites politiques.
El Malick son visage s’assombrit depuis qu’il a été nommé président de l’assemblée nationale.
Pourquoi Pastef ne parle plus de la criminalisation de l’homosexualité? Et pourtant ils ont tous les pouvoirs de le faire.
Pourquoi ils ne l’ont pas encore fait. Pire est qu’ils en parlent plus et ils font sourde oreille quand d’autres en parlent. Y’a quoi?
Pauvre con !
Ceci n’aimera pas les repas quotidiens.
Pisse en lit!
Qui aurait pu croire que Pastef puisse se tromper de priorité de la sorte ?