Penda Mbow : « Macky Sall doit…réconcilier les étudiants avec l’université »

 Penda Mbow a réagi sur les ondes de la Rfm suite au décès de Fallou Sène.  Pour la ministre conseillère chargée de la Francophonie,  Macky Sall doit s’adresser à la nation pour calmer les esprits. 

 « Je crois que le président de la République doit s’adresser à la Nation. Ce serait une occasion de réconcilier les étudiants avec l’université », a suggéré l’historienne au président de la République avant de poursuivre :

« Je ne suis pas d’accord avec ceux qui réclament la tête du recteur de l’UGB, Baydallaye Kane.  La cause de cet incident est à chercher du côté du Trésor public qui doit satisfaire beaucoup de revendications à la fois. L’Etat doit faire de la bourse des étudiants une sur-priorité », dit-elle.

8 COMMENTAIRES
  • ibou

    Je croyait elle est morte cette dame satan de la socciete des dome arame

  • Daouda Lecor

    Elle souffle le chaud et le froid

  • accordafrique.ink@gmail.com

    Quand tous ces larbins pseudo-intellectuels sont à la jouissance autour du couple Présidentiel, le trésor est à la peine car l’improductivité est bien payée. Celle ci a ouvert la bouche pour nous raconter des histoires et tenter de défendre un mal agissant et se faire entendre soi-disant. Où va le senegal dans cette perspective car même les historiens n’y voient que le bout de leur nez autour du banquet de la jouissance.

  • Big SENEGAL

    Penda Mbow leche cul! !!!! Honte à toi.

  • Big SENEGAL

    Pauvre intellectuelle corrompue. …leche cul! !!! Je voyais en toi une Aline Sittoe quand j’etais à la Fac! !! Quelle deception! Tu as trahi. …et tu t’es trahie. .. Tu faisais donc la comedienne! !!!

  • ANG

    Je connais le recteur de l’Université de St-Louis depuis un peu plus de vingt ans maintenant. Je peux alors dire la main sur la conscience qu’il subit des déchirures morales profondes. S’il pensait une seule seconde que sa décision de faire appel aux forces de l’ordre pourrait mal se terminer, je suis convaincu qu’il aurait renoncé. Pour qui connaît le respect et l’admiration qu’il voue à l’étudiant, sa passion pour l’université et son engagement pour l’UGB, il est dévasté. Encore qu’il ait commis une erreur en suivant le directeur du CROUS dans sa volonté de contrecarrer le projet de « Gueenté Toubab » (« manger sans la contrepartie du ticket-restaurant ») des étudiants, il faut reconnaître que le directeur du CROUS n’est pas exempt de tout reproche. Car c’est lui qui a sollicité l’aide de Baydallaye en quelque sorte.
    Il faut souligner, en fait, que la ligne démarcation nette qu’il y a à l’UCAD entre le « Social » et le « Pédagogique » n’existe pas à l’Université de St-Louis où tout est concentré entre les mains du recteur. A Dakar il est loisible à Cheikh Omar Hann, en cas de besoin, de solliciter l’intervention des forces de l’ordre sans requérir l’avis du Pr. Thioub. Mais, à l’UGB, le directeur du CROUS est obligé de passer par le recteur s’il est confronté à un problème de sécurité. En clair, c’est lui qui est allé voir le recteur pour lui dire de l’aider à remettre de l’ordre le campus. L’erreur du Pr. Kane, c’est de s’être laissé prendre à ce jeu. Toutefois,on a d’autant moins de raison de tirer à boulets rouges sur lui que, depuis qu’il est à la tête de cette institution, c’est la première fois (que je sache) qu’il a fait appel aux forces de l’ordre nonobstant le fait que les étudiants ont à plusieurs semé le désordre là-bas.
    Bayadallaye sera malheureusement sacrifié. Il est pris en sandwich entre la volonté du pouvoir d’empêcher que l’espace universitaire se réchauffe à quelques encablures de 2019 et l’opposition qui veut exploiter à fond cette situation à des fins purement électoralistes. Il s’y ajoute qu’il y a, à coup sûr, des professeurs titulaires qui manipulent en catimini les étudiants dans l’espoir sournois d’occuper son fauteuil. Ce serait dommage que Baydallaye parte. Je dis pas qu’il est irremplaçable. Nul ne l’est d’ailleurs. Il faut reconnaître objectivement, tout de même, qu’il a réussi avec beaucoup de compétence managériale et d’abnégation à résorber une bonne des problèmes auxquels l’institution était confrontée au moment de son arrivée. A titre d’exemple, les salaires des enseignants et des PATS tombaient avec énormément de retard. (L’université ployaient sous les charges inhérentes à la masse salariale à son arrivée.) En sus, il a beaucoup fait pour les étudiants. Ce n’est, d’ailleurs, pas sans sa raison que ces étudiants qui demandent son départ aujourd’hui le qualifiaient naguère de « [notre] meilleur allié ». Pas plus qu’avant-hier, un collègue de l’UGB me disait qu’aucun recteur ne pourra diriger ladite institution avec autant de doigté, de sobriété, de sincérité et de rigueur dans la gestion des ressources humaines et financières qu’il ne l’a fait. Cet homme a consacré plus de trente ans de sa vie à cette institution. Il fait partie de ces enseignants qui se sont sacrifiés pour que l’université puissent démarrer en 1990.
    C’est quelqu’un de très digne.

  • Diop+Le+tacticien

    Bien dit Professeur

  • Niit

    Regardez moi cette vieille idiote qui parle de message à la nation.

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