« Macky Sall est en train de jouer son avenir politique avec ce dossier Sweet beauty. Et tout le monde, sur le plan national et international, doit le comprendre ainsi », a laissé entendre ce jeudi, lors d’une conférence de presse, le leader des Patriotes, après son renvoi devant la chambre criminelle.
Selon Ousmane Sonko, l’avenir politique de Macky Sall, son parti et sa coalition Bby, se joue avec ce dossier de Sweet Beauty.
Et c’est la raison pour laquelle, déclare-t-il, « Macky et son régime n’ont lésiné sur aucun moyen, malgré l’évidence du complot dans ce dossier et de l’absence totale de preuves pouvant m’accabler, ils s’agrippent toujours parce qu’ils en font une question de vie ou de mort, au risque même d’embraser le pays ».
c,est plus tot toi qui joues mal la tien.
Laisse Macky en paix.
je me demande si macky a déjà prononcer le nom de ce katiapan. laisse macky tranquille il est occupé a crée des ter, brt, ports, aéroports, auroutes, agroploes, universités.
Bayil di foye sa khel mi yangui lapi lapi. Fi nga nek
C’est toi qui a joué avec ton avenir et tu as perdu. Laisse Macky Sall et la justice tranquille, ils ne t’ont rien fait. Fallait pas aller violer Adji Sarr à sweat beauty. Yalla mola wér, pour permettre aux senegalais de découvrir ton vrai visage de menteur, manipulateur et violeur. Procès rék????????. Si le dossier est vide, va le démontrer au juge lors du procès, d’autant que tu as les 14 meilleurs avocats du Sénégal à tes côtés. Vive le Sénégal ????????
Sono candidat égal Sonko président.
Macky va essayer de torpiller sa candidature jusqu’à sa dernière énergie.
Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux. Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !
Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager. Passe par là un petit cochon. Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux. Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge. Le jeu recommence. Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui ! Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau. Le rossignol fond en larme. Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? » Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! » À qui sait lire et comprendre!
Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO
Le corbeau et le rossignol, ou quand le vice tente d’écrire un traité de grandes vertus (Par Pr Ndiaga Loum)
Un recueil d’anecdotes vulgairement racontées et abusivement appelé « livre » est apparu cette semaine et largement partagé dans les réseaux sociaux, renseignant d’ailleurs au passage sur le caractère relativement minimal des exigences de rigueur éditoriale, sur la forme et sur le fond. Sous une apparence un tantinet racoleuse renvoyant à priori à une diatribe contre le président et son régime, sa visée cachée, très vite « dénichée » par les « nandités », est de contribuer au travail de salissage d’un opposant irréductible au bienfaiteur du « griot » de service si habité à ramper qu’il n’est plus capable de « voler » (pas de « violer »), pour reprendre le mot de Mao. Le jeu, l’enjeu et le timing sont si bien choisis par cet arbitre, ce juge « vertueux » (pardon pour l’évitement ironique) auto-désigné de la prochaine bataille que se livreront un candidat légitimé par une jeunesse démographiquement majoritaire et radicalement engagée et un autre candidat impopulaire et juridiquement disqualifié mais tenté par le diable du forcing, qu’ils ne laissent aucun doute sur la nature de la commandite et la personnalité lugubre du commanditaire. Entre le dépit et le mépris, me vient en souvenir un conte subtil. Mais, connaissez-vous la fable du corbeau et du rossignol? Un petit rappel :« Un corbeau et un rossignol, perchés sur une branche, cherchaient à savoir qui des deux chantait le mieux. Et le corbeau d’y aller de sa voix graveleuse : Croâ ! Croâ ! Croâ !
Le rossignol à son tour de sa voix flûtée : Pfui ! Pfui ! Pfui !
Et de chanter chacun à leur tour sans être capables de se départager. Passe par là un petit cochon. Le corbeau aussitôt lui demande de les aider à savoir qui des deux chante le mieux. Le cochon n’ayant pas d’autre chose à faire accepte de servir de juge. Le jeu recommence. Le corbeau : Croâ ! Croâ ! Croâ ! et le rossignol : Pfui ! Pfui ! Pfui ! Le cochon écoute, réfléchit et donne pour gagnant le corbeau. Le rossignol fond en larme. Le cochon voyant cela dit au rossignol : « Alors ? Vous pleurez parce que vous avez perdu ? » Le rossignol de répondre : « Non ! Je ne pleure pas parce que j’ai perdu. Je pleure parce que j’ai été jugé par un porc ! » À qui sait lire et comprendre!
Ndiaga Loum, professeur titulaire, UQO
Bayi lenn di fowè khelou nitt gni!
laisse macky sall tranquillement il n’a pas ton temps, c’est mieux que tu prépare ton procès avec Adji sarr, violeur et manipulateur et menteur sonko violeur
Sonko arrête de jouer avec ta conscience et vas préparer ton procès tranquillement s’il te plaît