Jamais dans l’histoire de notre parti, un « imposé leadeur » n’avait fait l’objet d’autan d’impopularité auprès des « siens ».
La Cojer sous Thérèse Faye manque beaucoup d’entres nous. A son temps, la convergence des jeunesses républicaines, bien structurée, animait le parti sans aucune autre forme de velléité profonde.
Cette structure des jeunes animait réellement le parti par ses différentes composantes départementales, avec l’implication de tout le monde, pour le seul bien être du parti et du président Macky Sall, notre mentor.
Cette époque, cette époque qui nous manque temps, qui faisait qu’on se sentait tous de l’Alliance Pour la République, sous Thérèse Faye, nous manque manque réellement et cela est plus que manifeste dans les rangs actuellement.
Aujourd’hui, une simple enquête aurait permis au Président de notre parti de déceler le malaise que traverse l’entité jeune de notre parti avec l’arrivée de Moussa Sow qui nous a été imposé et qui ne parvient toujours pas à réunir les jeunes autour de l’essentiel parce qu’il en est incapable.
Caractérisé par un ségrégationnisme flagrant, par une très forte carence en leadeurship pour tirer les masses vers l’unité, parce qu’impopulaire, se croyant déjà ministre de la République et se hissant très haut loin des jeunes, Moussa Sow reste le seul mal de la jeunesse de notre parti.
Il n’aura malheureusement jamais réussi a hérité de la jeunesse authentique du parti. Celle qui était là, qui a tout donné au parti. Des milliers d’entre nous, frustrés partout dans les départements, sont restés inactifs et improductifs à cause d’un manque de pénétration et d’éclosion de Moussa Sow, quasiment inconnu du Sénégal des profondeurs.
Avec Moussa Sow, l’Apr-JEUNE risque d’être une entité fantôme sans jeunes ou avec des jeunes sans influence, sans pertinence et sans capacité de massification et d’animation alors que tout le monde sait que la jeunesse politique apporte du souffle et de la résistance à un parti, pendant que la jeunesse clanique détruit les acquis.
Cette impopularité plus que paludique de Moussa Sow est partout manifeste dans le pays. Encore une fois, cela est vérifiable sur le terrain. Où passe Moussa Sow, c’est la violence qui s’en suit et ce, entre jeunes « arrivistes », sans conviction, qui se réclament de l’Apr. Le dernier cas d’exemple remonte de sa toute dernière activité à Tamba, devant le ministre Sidiki Kaba.
Nous demandons au président Macky Sall de régler cette problématique qui risque de plomber notre parti dont nous seuls payeront les pots cassés.
Moussa Sow n’est pas à sa place. On préfère le dire à haute voix car les murmures n’ont jamais rien servi.
Par Cheikh Demba Ka, jeune républicain.