L’interdiction et la répression systématique à coups de grenades lacrymogènes des marches pacifiques sont devenues la règle depuis 2012, année d’accession du Président de la République Macky Sall au pouvoir. Alors que la Constitution sénégalaise en son article 10, permet à tout citoyen de manifester pacifiquement : « Chacun a le droit d’exprimer et de diffuser librement ses opinions par la parole, la plume, l’image, la marche pacifique, pourvu que l’exercice de ces droits ne porte atteinte ni à l’honneur et à la considération d’autrui, ni à l’ordre public », le président Macky Sall et son régime bafouent de manière mécanique cette disposition de la loi fondamentale de notre pays qui définit nos droits et nos libertés, ainsi que l’organisation et les séparations du pouvoir politique.
Malgré une Constitution presque parfaite, on constate une violation nette et flagrante de cette disposition de la loi « mère ». Disposition, qui dans une République dite démocratique devrait être inviolable et inaliénable. Depuis près de quatre longues années, l’opposition, comme la société civile, qui ne partagent pas la même vision de gouverner que le président Macky Sall et son clan n’arrivent plus à s’exprimer librement dans la rue.
Macky Sall, en tant que président de la République du Sénégal avait nourri beaucoup d’espoirs envers ceux qui voyaient dans le régime de son prédécesseur des dérives graves, surtout concernant les libertés et les droits humains. Aujourd’hui, cet espoir s’est transformé en désillusion et déception.
Le Sénégal, tant cité comme exemple en Afrique en matière de libertés et droits de l’Homme est en passe de devenir une véritable dictature, pour ne pas dire un régime autoritaire.
Malgré les dérives et quelques fois les restrictions des libertés par le régime d’Abdoulaye Wade, force est de constater que malgré tout, ce dernier vous a légué un pays démocratique.
En tant que quatrième président de la République et vu votre parcours avant d’arriver à la tête du pays, vous n’avez pas le droit de transformer le Sénégal en une dictature. Vous n’avez pas le droit de restreindre les libertés de partis politiques légalement constitués, encore moins du citoyen lambda.
Par: Couly CASSE
fransma parle les opposants vous nous pourisez la vie svp arette d critique l’État vous étés les seuls e uniques responsables d s ki vous arrives vous voulaient mettre l Sénégal dans le pétrin prenaient l’exemple des états unis tous pour l travail au-lieu d s mettre aux travailles vous passé vote temps a fait du marche vous croyais k avec sa vous arriveraient a présider le Sénégal
Je remercie SENEGO de m’avoir permis de réagir face à cette manipilation machiavélique de la classe politique vis à vis ce qui s’est réellement passé. La marche a été bel et bien autorisée sous condition de changement d’itinéraire voulu par l’opposition. Cette dernière a voulu défier l’Etat et vous savez tous le résultat. L’opposition se croit où? On a compris vite son jeu: elle voulait se faire violonter pour avoir la compassion des Sénégalais. Légui nieupa yéwou sauf vous les les politiciens. Le Sénégal ne vous appartient pas. Arrêtez de nous prendre pour des cons.
SI CES MANIFESTANTS FAUX OPPOSANTS AVEZ RESPECT LE CHEMIN INDIQU MARCH IL N’Y AURAIT PAS DE RPRESSIONS.LE PRSIDENT MACKY SALL EST LE PRSIDENT LE PLUS CRITIQU EN AFRIQUE CHAQUE JOUR IL EST ATTAQU VERBALEMENT DONC ARRTER DE DIRE QU’IL YA DICTATURE AU SNGAL C INSULT LE PEUPLE .SON ARME C LE SILENCE ET C CELA LA RPONSE AUX IMBCILES.
La violence est l’arme des faibles./.
Merci pour cet intervention, en fait le peuple sénégalais a depuis près de 3ans maintenant commencé à classer Macky Sall dans la même catégorie de dictateurs où l’on retrouve les Yaya Djammeh, Laurent Gbagbo entre autres et je pense sincèrement que le peuple n’a pas tort sur ce point si on prend par exemple le dernier exemple des excès de violence que sa police à exercé sur de pacifiques manifestants qui ne réclamaient rien d’autre qu’une gestion transparente de sa part dans tour les dossiers de l’État.