Dans une interview accordée au journal français « Le Figaro », ce jeudi 08 février, la ministre de la Justice et garde des sceaux du Sénégal, Me Aïssata Tall Sall, a abordé le contentieux existant entre les pouvoirs législatif et judiciaire du pays, suite à la décision de reporter une élection. Cette décision, prise par l’Assemblée nationale, a soulevé des questions concernant une éventuelle ingérence de l’exécutif. À ce sujet, Me Tall Sall a précisé : « Nous n’avons jamais demandé à l’Assemblée de reporter cette élection. Ce n’est pas une initiative de l’exécutif, encore moins du président Macky Sall. » Elle explique que le report fait suite à une demande d’un groupe de l’opposition, qui contestait l’éviction de son candidat, Karim Wade, par le Conseil constitutionnel de manière jugée inappropriée.
La ministre a également souligné le respect du gouvernement pour la séparation des pouvoirs, affirmant qu’ils ne commentent ni ne s’immiscent dans les décisions du Conseil constitutionnel ou les demandes des députés. Elle a rappelé la position du Conseil constitutionnel sur la durée du mandat présidentiel, déclarée « intangible » en 2016, une position que la loi récente ne modifie pas, malgré l’introduction d’une dérogation concernant les dates de l’élection.
Face aux craintes de violences, Me Aïssata Tall Sall a exprimé son optimisme et sa confiance dans la capacité du gouvernement à maintenir l’ordre. Elle a également répondu aux critiques, y compris celles venant de la communauté internationale, en soulignant la solidité de la République sénégalaise et l’importance de la primauté de la loi. La ministre a rappelé que le Sénégal reste une démocratie où le Conseil constitutionnel a le dernier mot sur la conformité des lois, excepté pour les lois constitutionnelles sur lesquelles il ne peut se prononcer.
L’interview a également été l’occasion pour Me Tall Sall de réitérer l’engagement du président Macky Sall à organiser les élections dans le calme et l’inclusivité, tout en poursuivant le dialogue avec les partenaires internationaux pour expliquer la position du gouvernement sénégalais.
La chef de fil du parti OSER MENTIR nous dit : Le conseil constitutionnel a le dernier mot, comme son maître l’avait dit aux spoliés, et qui à la fin, nous raconte des bobards pour annuler l’élection du 25 Fevrier. Seuls des esprits pourris comme vous, peuvent encore vous soutenirs
Les 2 plus grands menteurs de l’histoire du Sénégal sont
Aissata Talla Sall et Ismaela Madior Fall. Ils ont gagné les 1ères places au palmarès des meilleurs menteurs. Voilà 2 disciples de Satan. Leur mensonge fait Honte et déshonneur à leur profession et entache l’honneur de leur propre famille. La nation n’oubliera pas vos agissements et Dieu ne vous le pardonnera pas non plus. Vous allez brûler aux enfers éternellement
celle la mome elle fait parti de mes plus grande déception de ce régime. A cause du neddo kob andoum et de largent elle a renié toutes ces convictions.. je me demande comment elle va regarder les gens après tout ca