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Marché UEMOA : Le Sénégal bat des records sans le FMI, la confiance renait

Ce vendredi 30 mai 2025, l’État du Sénégal a levé 65 milliards FCFA sur le marché régional UEMOA-Titres.
Face à cette sollicitation, la réponse des investisseurs a été massive : 84,775 milliards FCFA de soumissions, soit un taux de couverture exceptionnel de 130,4 %, établissant un nouveau record.

Au final, 66,080 milliards FCFA ont été retenus, confirmant l’intérêt marqué des acteurs du marché pour les titres émis par le Sénégal et illustrant une dynamique de confiance rarement observée ces dernières années.

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Cette sursouscription spectaculaire est un signal fort : elle témoigne de la crédibilité retrouvée de notre pays, de la solidité de ses fondamentaux économiques, mais aussi de la rigueur et de la sincérité désormais imprimées à la gestion publique. Elle reflète l’adhésion croissante des investisseurs à la trajectoire de rupture, de transparence et de souveraineté économique portée par le tandem Diomaye–Sonko.

C’est une première depuis des années : le Sénégal mobilise avec succès les marchés régionaux sans le recours au FMI, sans artifices comptables, et sans dette dissimulée.
Une preuve concrète qu’une autre manière de gouverner est possible, plus sobre, plus honnête, et plus ancrée dans l’intérêt national.

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4 commentaires

  1. Observatoire des maraboutages

    Bara Fall, un Sénégalais de 27 ans vivant à Bilbao, en Espagne, a été retrouvé mort dans une poubelle. D’après Les Échos, qui annonce la triste nouvelle, il avait enregistré un audio dans lequel il annonçait sa fin imminente.


    Père de deux enfants et marié depuis cinq ans, Bara traversait une période difficile marquée par des tensions conjugales et une détresse mentale, croit savoir la même source.


    Dans son message, décortique le journal, il évoquait un marabout qui lui aurait prédit sa mort s’il ne divorçait pas de sa femme. Bien que son état de santé mentale se soit détérioré, des tentatives d’intervention n’ont pas abouti.


    La communauté sénégalaise, profondément choquée par ce drame, réclame une enquête pour comprendre les circonstances exactes de sa mort, entre hypothèses de suicide, de sacrifice mystique et de dépression aggravée par les conflits familiaux, souligne Les Échos.


    • Contre le Gauchisme

      L’IDEOLOGIE GAUCHISTE DE SONKO VA DETRUIRE PROGRESSIVEMENT LA CIVILISATION SENEGALAISE


      Le problème des communautés – juive, LGBT, féministe ou antiraciste –, c’est que leurs représentants se comportent comme des dirigeants politiques de premier plan, alors qu’ils sont minoritaires dans la population. Encouragés par les médias qu’ils ont infiltrés à la trotskiste, ils exercent progressivement leur tyrannie. Généralement dénués d’autorité personnelle, ils sont néanmoins accusateurs et procéduriers, ce qui signe la faiblesse de leur argumentaire.


      Parfois, ils attaquent même sans raison, uniquement pour exister, grâce à leurs relais dans la culture ou la presse. Leur stratégie d’occupation médiatique est calquée sur les campagnes d’image des grandes marques, qui doivent rester présentes dans l’esprit du grand public. Une fois que les affiches Coca-Cola sont partout, jusque dans le désert, en cas de soif, notre esprit réclamera en premier lieu et instinctivement un coca.


      Juif, homo, racisé et femme sont devenus des métiers

      Tu fais quoi dans la vie ? Je suis femme. Et toi ? Homo. Moi je suis lesbienne, un emploi doublement rémunérateur. Sauf que…


      Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un « racisé » parce que ses ancêtres ont été persécutés au XIXe siècle par des colonisateurs français.


      Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’une femme parce que son patron ne la paye pas ce qu’elle estime valoir, depuis qu’elle a lu dans Elle qu’elle était victime d’un racisme de genre, ou parce qu’elle prétend que son ex était un pervers narcissique.


      Nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un juif parce qu’il se présente comme l’intouchable d’une vague association qui vit de la rente d’État et du résultat de persécutions judiciaires, sous prétexte que ses ancêtres sont morts dans les camps, alors que les nôtres sont morts à Verdun et qu’on n’en fait pas un plat quotidien. Venez voir les 3 400 nécropoles où reposent 1 200 000 militaires français tombés au service du pays (ou de l’oligarchie) en 14-18… Ça vaut bien un Auschwitz.


      « Au total, près de 43 000 corps gisent ici »


      Enfin, nous ne sommes pas tenus d’accéder aux demandes exagérées d’un homo parce qu’il a malheureusement été chahuté dans la cour de récré à 11 ans, qu’il est mal dans sa peau( on l’est tous plus ou moins), qu’il trouve que les hétéros sont coincés de ne pas être homos, et que son job consiste à faire l’attaché de presse d’une grande entreprise qui a trop peur de passer pour homophobe.


      Pour compenser leur faible poids démographique, ces communautés font acte d’agressivité, pas les individus qu’elles représentent ou disent rassembler mais leurs représentants, qui menacent les Français non communautarisés du matin au soir. Le peuple travailleur et discret n’en peut plus de ces accusations perfides et mensongères destinées à entretenir la victimisation et le jackpot des réparations. Nous sommes devenus leurs bateliers ! On rappelle à tous ces dirigeants auto-élus qu’une telle injustice a mené à 1917.


      Nous vivons sous le régime des sanctions permanentes de ces communautés qui dénaturent la démocratie dans un pays qui a d’autres chats à fouetter que le féminisme, l’antiracisme, l’antisémitisme ou l’homophobie. Dans le quotidien d’un foyer français, ces quatre concepts élastiques falsifiables à l’envi ne pèsent rien. Quant à la transphobie, cette discrimination imaginaire, les gens s’en tamponnent, mais alors d’une force… C’est bon signe pour les trans, d’ailleurs, qui semblent parfois mendier une discrimination.


      Un cas de chômage trans


      Les petits malins à la tête de ces associations, par définition impopulaires, feraient bien de se trouver un vrai boulot plutôt que de parasiter le trésor national et des médias, qui sont bourrés d’infiltrés, qui d’ailleurs ne se cachent plus. C’est bien simple, dans les médias mainstream, plus personne ne représente la majorité, qui est obligée d’avaler la propagande de la Bande des Quatre du matin au soir. C’est seulement dans les médias non alignés qu’on retrouve un juste équilibre de représentation nationale.


      Sopo et son racisme, Korsia et son antisémitisme, Fourest et son sexisme, Jolly et son homophobie, tous nous couillecassent (verbe issu du vieux françois) avec leur obsession nombriliste, essentialiste, et, au fond, raciste. Qu’ils sortent de leur enclos, de leur ghetto, qu’ils aillent, à la manière des séminaristes, vers les autres au lieu de les accuser à tort et à travers, afin de justifier leur activité douteuse et leur surprésence médiatico-politique.


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