Macky Sall: « Il est hors de question de perdre » face à Khalifa Sall… Retour de Me Wade… Points sur l’actu de ce lundi

Macky Sall:  « Pas question de perdre » face à Khalifa Sall en prison. En recevant ce dimanche au cours d’une audience une cinquantaine de responsables de Bennoo bokk yaakaar, le président de la République, très déterminé à remporter les Législatives à Dakar, est on ne peut plus clair. Macky Sall a secoué les responsables de la liste départementale de Dakar qui, pour l’instant, excellent dans l’immobilisme.

Prenant à témoin Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niass, le président avertit le commando de Dakar et Cie en ces termes: « Je ne vous sens pas dans la campagne. Au lieu de se tourner vers l’essentiel, les gens sont dans des querelles, sachez que, c’est à vos risques et périls. Il faut gagner Dakar ou on va tous périr. C’est hors de question de perdre face à une liste menée par quelqu’un qui n’a pas sa liberté de mouvement ». 

Et « si vous perdez,  je change les acteurs », conclut-il, dans L’As

Retour de Me Wade, plus de 2 millions de personnes attendus. Le retour de Me Abdoulaye Wade, annoncé dans le courant de la semaine, se prépare activement. Et le Pds attend plus de deux millions de personnes.  Une façon pour ces libéraux de dépasser les « deux millions » de personnes qui avaient accueilli Wade en 2014.  Un souhait émis, ce samedi, lors du rassemblement des Karimistes d’Angleterre. Il sera à Dakar à bonne date et à la bonne place pour lancer la campagne électorale », balance, dans Walf, Pape Saër Gueye, secrétaire national chargé des Sénégalais de l’extérieur. A l’en croire, « ce sera le peuple sénégalais assoiffé qui va mobiliser pour accueillir le  »sauveur »…

26 COMMENTAIRES
  • Faye Bretagne

    Donc c’est clair que tu as fait tout pour empêcher Khalifa sall d’être candidat bravo la justice sénégalaise

  • bineta seck

    a vraiment c est un aveu

  • maye

    Président , si c’est sorti de votre bouche vraiment c’est une erreur de communication . Même si c’est pour haranguer les lieutenants.

  • Ahmed Tidiane DIOP

    Yalla moy falle, souba souba Yalla la.Quoiqu’il arrive vous ne siegerez paq l’assemble.

  • mbaye

    prsi yaa wax lii?

  • Abdoulaye Touré

    A quand la rupture ?
    Je suis de ceux qui s’interrogent sur les manières dont nos hommes politiques en Afrique promettent avant intronisation et agissent à l’issue de celle-ci. Mû par le sens de la justice, et du progrès, j’ai dès la création du parti démocratique Sénégalais (PDS) en 1974, épousé les idéaux de son secrétaire Général et des différents membres pour leur engagement aux côtés des paysans, pasteurs, pécheurs pour un développement durable sous-tendu par une politique de justice sociale cohérente de lutte contre les détournements, la corruption, la gabegie, le népotisme, le laxisme, et j’en passe, qui gangrenaient notre société.
    C’est ainsi qu’en 1975 j’ai dû quitter mon village distant de plus de cent kilomètres de Kaolack pour assister au premier congrès du PDS chez le vieux Papa Nguissaly Diaw à Kasnack et à visage découvert, chose pas aisée à cette époque. De la même manière, venant de Tambacounda sur une distance de plus de 300 kms, pour assister en 1988 au meeting de Fatick passant la journée au quartier peuhlga sans déjeuner et non sans avoir serré la main à mon leader politique. Sans oublier pour besoin de mémoire encore le travail de fourmis fourni malgré les tracasseries : constitution d’une cellule de réflexions et d’incitation à l’action du Secrétaire Général du PDS composée de professeurs du lycée Mame Cheikh Mbaye, de commerçants, de transporteurs, d’arabisants, écrivant des articles par ailleurs que j’envoyais au journal « SOPI », pour sa rubrique « pêle-mêle », tous publiés. Dans la même dynamique j’ai en 1992, à la veille des élections de 1993, adressé une lettre aux leaders de l’opposition les invitant de ne pas de nouveau tomber dans le piège : « on veut savoir qui est qui et qui représente quoi » et d’unir leurs forces pour une candidature unique à l’instar des chiraquiens contre les socialistes en France. Tout cela dans le seul souci de voir une alternance dans ce pays qui en avait grand besoin. Loin de vouloir dire que la coalition est née de là. Simple coïncidence peut-être ?
    Le 19 mars 2000, à la faveur de l’union des cœurs et des esprits, sous-tendue par une presse indépendante, une catégorie de groupes musicaux à qui je rends un vibrant hommage, l’alternance est née. Avec ses péripéties. J’envoie aussitôt une lettre sous forme de contribution à mon leader Président qui reste sans suite. Contrairement à ce Président de la nation la plus développée du monde Bill Clinton a qui , après avoir suivi la campagne électorale en 1992, fasciné par sa grande vision et son programme, j’ai dès sa victoire, envoyé une lettre de félicitations et qui, sans tarder a répondu au citoyen lambda que je suis. Nul ne peut être plus chargé que ce super président et son entourage. Cela mérite d’être souligné. Aucunement cela ne pouvait représenter un point d’achoppement car j’ai toujours refusé l’opportunisme sans cesse dénoncé pour un pays de justice, d’équité, de paix, et de progrès véritables au service de la nation.
    Aussitôt installé, avec le référendum qui s’en est suivi, je m’attendais, comme mon peuple, à la concrétisation des promesses tenues :
    – réduction du train de vie de l’Etat,
    – une lutte permanente et farouche contre la gabegie,
    – les détournements,
    – la corruption,
    – le népotisme,
    – le laxisme (après le naufrage du Joola encore frais dans nos mémoires – que le bon Dieu veuille accepter
    nos devanciers dans son paradis Amen !). Ce fût le tour de ces cars archi-combles, aux pièces défectueuses, conduits par des chauffards qui continuent de plus bel à faire nos routes, rues, pistes sans être inquiétés causant des centaines de morts par an. Pas de feu lorsque chacun y trouve son compte. On attendait également la suppression des séminaires qui ne disent pas leur nom, organisés à coups de millions, dont les conclusions moisissent au fond des tiroirs pénalisant par ailleurs la bonne marche des services : absence quasi permanente des titulaires. Dans certains CM, le seul médecin s’absente à longueur d’année (médusée, cette paisible famille […] dont le tort est d’avoir eu de grands-parents aux muscles mouvants participant ainsi au développement de leur pays et dont les terres occupées par leurs descendants ont été l’objet de tentatives de spoliation sous l’ancien régime, vient de nouveau d’être abusée et expropriée d’un terrain de culture. Ce, malgré plusieurs plaintes et recours devant les autorités locales […] La chose dont il s’agit ne peut être cautionnée ni par le droit, ni par la morale. J’y reviendrai inchallah pour plus de détails. Voilà, entre autres, pourquoi dans la lettre adressée à mon leader-président, sous forme de contribution, j’avais suggéré par ailleurs, la réforme foncière l’alphabétisation et le recyclage permanent de nos élus locaux. Nul n’ignore que la plupart des conflits dans le monde ont pour origine la terre et l’eau. Le mépris et l’indifférence des autorités administratives et locales participent à exacerber les esprits. On attendait que les services publics soient audités conformément aux promesses ainsi que les sociétés nationales, les collectivités locales dont la gestion devrait être plus regardante et les auteurs des malversations économiques soient punis et sans parti pris et non récompensés. Comment peut-on avoir les mains pétries dans la boue et être digne de confiance ? Ne dit-on pas que l’habitude est une seconde nature ? A l’image de ce pays frère voisin où dès son arrivée au pouvoir, ce jeune chef d’État a installé une commission d’enquêtes chargée de juger tous les auteurs de détournements de deniers publics ; ceux la qui sans scrupule se sont enrichis sur le dos du peuple, sommés à rembourser jusqu’aux derniers centimes sous peine de croupir dans les geôles. Ce qui ne l’a pas empêché de triompher aux présidentielles et aux législatives, qui se sont déroulées démocratiquement.
    Tout régime qui accumule injustice sociale, impunité, arrogance va à sa perte. L’histoire nous l’enseigne. Pourrai-je continuer d’avoir confiance en nos hommes politiques qui, trop souvent, manquent de cohérence dans leurs idées et leurs actes et qui, par amnésie ou indifférence aux aspirations de leurs peuples, les prennent en otages une fois aux affaires ? Dès qu’un parti politique arrive au pouvoir, j’aurais préféré que ses membres disent : « Nous allons travailler pour le peuple et non pour le parti comme c’est le cas sous nos cieux. Le parti peut dévier ses objectifs et renier les aspirations du peuple qui l’a élu non ? A quand la rupture ? Je ne cautionnerai jamais la politique qui est de se servir des autres comme tremplin ou de créer un réseau de mystifications à travers lequel, on préserve des intérêts particuliers pour paraphraser le panafricaniste et visionnaire Ahmed Sékou Touré, l’homme du 29 septembre 1958 et du 22 novembre 1970. N’en déplaise à ses détracteurs, laquais de l’impérialisme, du néo-colonialisme, en Afrique tant opprimée et humiliée. Celui là, caricaturé à tort, ne vient t’il pas d’être magnifié, glorifié avec certains de ses pairs à travers les ondes d’une radio étrangère par un très haut responsable des nations unies et avec lesquels, disait –il, l’Afrique gagnerait aujourd’hui et dont cette haute personnalité, soulignait avoir essuyé plus de quarante tentatives de coups d’État et d’assassinats réels. Qui peut être mieux placé que ce monsieur pour juger et donner une opinion sur les grands et loyaux serviteurs de leurs peuples à travers le monde, l’Afrique ? Il ne s’agit, pas pour ma part, de faire la publicité d’un homme admiré pour la pertinence de ses idées, son patriotisme, son engagement pour la cause du monde noir, de l’Afrique. D’où mon militantisme au PDS dès 1974.
    Interpelé sur le concept politique en Afrique, lors de sa visite au Sénégal, peu avant son rappel à Dieu en 1984, dans une conférence et face à un auditoire composé, entre autres, d’éminentes personnalités et d’étudiants, en orateur averti, disait(1) » la politique ou le politique englobe toute l’expression de la pensée des peuples organisés qui se projettent dans une nouvelle réalité de dimension plus accrue, un niveau d’harmonie plus accentué et qui s’imposent les efforts indispensables pour être ce qu’elle veut être. C’est donc, la politique devient la science d’utilisation efficace de toutes les sciences socio-humaines. A ce niveau, elle est au centre du peuple qui doit discuter de tout ce qui est à faire, décider de tout ce qui est à faire, repartir ce qui est fait, contrôler la gestion de ce qui est fait. Une telle politique est l’expression d’une civilisation de masses qui bannit évidement la civilisation d’élite, la suprématie d’un groupe d’individus et le peuple restant au centre des décisions, de l’action devient maître de son destin ».
    C’est un faux débat de dire qu’il faut arrêter toute poursuite contre un ancien chef d’État ou contre sa famille en leur assurant ainsi l’impunité, les exposant ainsi donc à toutes les dérives. L’Afrique, appauvrie par des systèmes, a grandement besoin d’être bien servie par ses fils, ses filles. Tout dirigeant : ministre, président, devrait rendre compte et poursuivi à la fin de son règne en cas de délit. Comme l’est le citoyen ordinaire qui vole un œuf ! C’est ça l’État de droit et la démocratie s’en trouverait ragaillardie. Ces prétextes et deals le continent n’en a pas besoin. Laissons les dictateurs faire ce qu’ils veulent, convaincus que le vent les emportera tôt ou tard.
    Que l’Afrique est malheureuse de ces hommes qui la gouvernent ! Le manque de courage politique à changer les protocoles de traitement en choisissant le coartem, à base de plante de la pharmacopée traditionnelle chinoise très efficace contre le paludisme, première maladie mortelle face à l’inefficacité de la nivaquine proscrite par ailleurs, pénalise encore notre continent. Produit qui cependant pouvait nous revenir à 1 650 F pour le traitement adultes et sensiblement moins pour les enfants (Écho du consommateur n°294-2002.) Idem pour d’autres domaines dans lesquels excellent les intellectuels africains laissés en rade ou emportés par l’exode. A voir comment évolue la politique sous nos tropiques, noble dans son concept, on ne peut que se révolter et se démarquer. N’est –il pas pour cette raison que nos religieux aux valeurs et vertus cardinales se trouvent à l’écart de celle-ci Dieu bannit la trahison, le mensonge, l’égoïsme, l’illicite, l’injustice.
    (1)Tiré du discours oral de son excellence le Président Ahmed Sékou Touré.
    A.T Région de Fatick
    2005
    Pour les raisons déjà évoquées, en toute modestie, pourrais-je ne pas revendiquer la paternité des slogans. « A quand la rupture » « la patrie avant le parti » et l’effectivité de l’utilisation du coartem, même si celui-ci…
    Retraité de l’administration Sénégalaise que j’ai bien servie pendant quarante ans+ j’ai les preuves de mes allégations ; voilà que véritablement depuis 2012, je cours derrière mon du- l’argent que me doit l’État du Sénégal. Et ce, malgré Tout dont l’instruction en date du mois de décembre 2013 de Monsieur le Président de la République Macky SALL au Ministre de l’Économie et des Finances pour règlement (lettre N°05676/PR/SG du 06 DEC 2013).
    Épuisé physiquement, moralement et financièrement par les nombreuses correspondances, articles de presse et démarches sans suite (35ème au 12e mois 2016), je lance à nouveau, un sos à personnes en danger, à tous ceux qui sont épris de justice, de paix et prends l’opinion à témoin. (Le mardi 30 décembre 2014. Monsieur B.Camara chargé du dossier à la Direction de la solde 4ièm étage tel 77 567… qui me répond que c’était réglé avant d’ajouter, lorsque je lui disais n’avoir rien vu « je vais voir avec mes collaborateurs »). A travers ma personne, c’est toute une famille qui est concernée et qui ne demande, qu’à être rétablie dans ses droits. Une main invisible, serait-elle à l’origine de ce blocage ? Serais-je victime de mon engagement et opinion de patriote et panafricaniste ? Je ne mérite pas ça.
    Akhe bakhoul ! Akhe bakhoul ! Akhe bakhoul waye diokh lène mâ souma yélef ! Payez-moi ce qui me revient de droit. J’interpelle encore une fois Monsieur le Président de la République Macky SALL et demande à toute bonne volonté de lui porter ce message.
    Dans l’espoir de voir enfin, le bout du tunnel en rentrant dans mon dû estimé à quelques millions. Après cinq (05) années de peines pour une personne de 3è âge qui a tant donné à sa patrie. Pour une politique de développement bien pensée, prenant en compte, les aspirations populaires, la compétence et la vertu (patriotisme) doivent être mis en avant. Sinon, c’est le naufrage. Si également la grève de la faim-arme fatale-devient l’unique voie pour se faire entendre et rentrer dans ses droits, hé bien c’est la catastrophe. C’est regrettable et pas incitatif dans un pays qui tend à l’émergence.

    Abdoulaye Touré Sokone
    Région de Fatick
    Tel 77 572 23 41 // 70 613 18 67
    E-mail : ltrf51@yahoo.fr

  • napoli

    c est clair et net presi vs avez prive khalifa de la libert en collaboration avec ton procureur les sngalais sont tmoins buur yalla atte la au khalifa

  • libasa

    c honteux d la part d un chef d etat..maky est vremen petit..khalifa est gran et Dieu est Juste

  • poutine

    honte honte

  • feegn

    une élection c’est pas un décret le peuple de dakar décidera qui il va élire et nous voterons utile.

  • Mamadou ndao

    libassa wakho fi dara

  • deugmowor

    Donc przi lignouy wah c vrai Khalifa t’empche de dormir.j t l rpte mm en prison il n fait pas le poids devant ts sois disant commandos,1seul ds lieutenant d khaf vs coz ds problmes masssa momm.k l’administration soit juste et ekitable nga khl.

  • Fallou fall

    Prions pour que les élections SW passé ds la paix car les conditions posés(5 bulletins par ce lui qui vote )par la cena est trop risqué

  • patriote

    LE PRESIDENT VIENT DE FAIRE UN AVEU DE TAILLE: IL A MIS LE MAIRE DE DAKAR EN PRISON POUR GAGNER DAKAR.
    Voila un aveu de haute trahison: la manipulation et politisation de la justice.
    Le président macky sall est la grande déception de ce pays.
    Il est le corrupteur en chef de classe exceptionnelle du pays et a transformer le palais présidentiel en siège de l´Agence Nationale pour la Corruption.
    Il a fait de notre justice une justice politique, tordue, destinée a emprisonner les adversaires politiques du président. Il vient d´avouer que l´emprisonnement de khalifa ababacar sall a pour finalité de lui faire gagner Dakar.
    Le président macky sall est entouré des plus grands detourneurs des derniers publics du pays, des gens épinglés par les services de contrôle de ce pays,
    Le président qui nous avait promis et juré de ne proteger absolument personne. Il avait omis de nous préciser: sauf ceux qui sont avec moi et sauf mes transhumants.
    Le président nous avait dit de le juger des valeurs et non sur des constructions…
    Anonyme, restez le.
    Votre billet est plein d´hypocrisie, de mensonges et de contre vérités….

  • patriote

    BON RETOUR PRESIDENT WADE. QUE LES MEILLEURS POUR CE PAYS GAGNENT…
    LE PRESIDENT VIENT DE FAIRE UN AVEU DE TAILLE: IL A MIS LE MAIRE DE DAKAR EN PRISON POUR GAGNER DAKAR.
    Voila un aveu de haute trahison: la manipulation et politisation de la justice.
    Le président macky sall est la grande déception de ce pays.
    Il est le corrupteur en chef de classe exceptionnelle du pays et a transformer le palais présidentiel en siège de l´Agence Nationale pour la Corruption.
    Il a fait de notre justice une justice politique, tordue, destinée a emprisonner les adversaires politiques du président. Il vient d´avouer que l´emprisonnement de khalifa ababacar sall a pour finalité de lui faire gagner Dakar.
    Le président macky sall est entouré des plus grands detourneurs des derniers publics du pays, des gens épinglés par les services de contrôle de ce pays,
    Le président qui nous avait promis et juré de ne proteger absolument personne. Il avait omis de nous préciser: sauf ceux qui sont avec moi et sauf mes transhumants.
    Le président nous avait dit de le juger des valeurs et non sur des constructions…
    Anonyme, restez le.
    Votre billet est plein d´hypocrisie, de mensonges et de contre vérités….

  • Le Vieux

    Je ne sais pas si Khalifa Sall est coupable ou non car je suis pas le temoin des faits mais la politique etait toujours comme ca si les faits qu,on lui a repproche etaient faut don il y a encor une autres justice plus multidimentionnelle que la notre pourquoi l,opposition n,a pas depose un recours aupres cette institution

  • thiama

    les menteur

  • Moussaka

    on ne peut pas deposer un recours avant detre juge. …le VIEUX

  • Khady

    je t’aime bien Macky mais tu ne devrait pas dire ça ine hersini c honteux

  • lamine

    La stratégie de l’international socialiste pour le retour du au pouvoir est en branle. Le marabout Moustapha SY l’avait dénoncé, mais subitement il s’est tu. Macky SALL le pantin nègre de service applique à la lettre les consignes qui lui sont dictées depuis la France; il faut victimiser Khalifa SALL pour casser la bipolarisation Karim WADE Macky SALLet créer une alternative à Macky au sein de BBY. Le résultat set connu de tous; tous ceux qui soutiennent Khalifa font parti des assises nationales et ont étaient les artisans de l’élection de Macky SALL; ils se sont retrouvés dans l’opposition pour contrecarrer le PDS qui jusque là a défendu les intérêts du Sénégal contre ceux de la France, cette dernière, après avoir s’impliquer ostentoirement aux campagnes de feu et sang pour le départ de Wade, ne veut plus du PDS et son candidat à la tête du pays. La France ne peut trouver meilleur successeur de Macky SALL, un doux collaborateur comme Khalifa SALL pour continuer

  • lamine

    La stratégie de l’international socialiste pour le retour du PS au pouvoir est en branle. Le marabout Moustapha SY l’avait dénoncé, mais subitement il s’est tu. Macky SALL le pantin nègre de service applique à la lettre les consignes qui lui sont dictées depuis la France; il faut victimiser Khalifa SALL pour casser la bipolarisation Karim WADE Macky SALLet créer une alternative à Macky au sein de BBY. Le résultat set connu de tous; tous ceux qui soutiennent Khalifa font parti des assises nationales et ont étaient les artisans de l’élection de Macky SALL; ils se sont retrouvés dans l’opposition pour contrecarrer le PDS qui jusque là a défendu les intérêts du Sénégal contre ceux de la France, cette dernière, après avoir s’impliquer ostentoirement aux campagnes de feu et sang pour le départ de Wade, ne veut plus du PDS et son candidat à la tête du pays. La France ne peut trouver meilleur successeur de Macky SALL, un doux collaborateur comme Khalifa SALL pour continuer à mettre notre économie sous perfusion.

  • Citoyen

    Moi ce qui m,etonne je ne sais pas pourquoi certains leaders politique sont violents et incoherants pour ces derniers la politique c,est tenir des bons discours pour l,attention de leurs publiques moi a ma personne auqu,un leader politique ne peut me manipuler pour ses interets indivuduel s

  • Citoyen

    Moi ce qui m,etonne je ne sais pas pourquoi certains leaders politique sont violents et incoherants pour ces derniers la politique c,est tenir des bons discours pour attirer l,attention de leurs publiques moi a ma personne auqu,un leader politique ne peut me manipuler pour ses interets indivuduel s

  • ibou

    si tu perds gathie dina la ray

  • saa kadior

    Macky est une plaie au cœur de la République, à chaque fois qu’il ouvre sa bouche, se précipitent les incohérences, les menaces et son obsession du Pouvoir.
    Il ne fait l’ombre du doute que ce Président à peur de tout ce qui bouge et sa stratégie politique consiste à éliminer ses adversaires politique en somme, « réduire l’opposition à sa plus simple expression ».
    Le cas Khalifa n’est rien d’autre que pour enterrer Karim qui constitue son unique casse-tête vu sa popularité croissante. Il a inventé le dossier Khalifa et l’utilisé comme cheval de Troie MAIS il se rend compte chaque jour que Dieu fait qu’on arrête pas la mer avec ses bras d’où l’invention de cette « mule de Karim » qui, encore une fois tombe comme un château de carte. Alors, il se fâche, il menace comme il nous a habitué de faire.

  • saa kadior

    C’est triste !!!

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