L’Université Gaston Berger accueille un atelier sur la biodiversité transfrontalière entre le Sénégal et la Mauritanie

L’Université Gaston Berger accueille un atelier sur la biodiversité transfrontalière entre le Sénégal et la Mauritanie

Le Centre d’excellence africain en mathématiques, informatique et TIC (CEA–MITIC) de l’Université Gaston Berger à Saint-Louis a organisé, lundi, un atelier scientifique axé sur la recherche, la troisième fonction d’une réserve de biosphère. Cet événement s’inscrit dans le cadre de la deuxième édition des journées consacrées à la Réserve de biosphère transfrontalière du delta du fleuve Sénégal (RBTDS), une zone partagée entre le Sénégal et la Mauritanie. La réunion a eu lieu juste après la Journée mondiale des zones humides, célébrée dimanche sur le thème : « Protéger les zones humides pour notre avenir commun ».

Le colonel Ibrahima Guèye, directeur des Parcs nationaux du Sénégal, a déclaré : « Nous sommes réunis aujourd’hui à l’Université Gaston Berger pour discuter de sciences, d’enjeux climatiques, environnementaux et socio-économiques autour de la Réserve de biosphère transfrontière du delta du fleuve Sénégal, qui est un complexe écologique entre deux pays ». Il a souligné l’importance du terme « transfrontière », indiquant qu’il s’agit d’une entité qui transcende les limites nationales, comme l’a rapporté l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).

Le rassemblement a vu la participation des agents du Parc national du Diawling (PND) ainsi que des représentants du ministère de l’Environnement et du Développement durable de la Mauritanie. Ensemble, ils ont abordé le fonctionnement de la réserve selon trois axes principaux : la conservation, le développement et la recherche.

Daf Sehla Daf, directeur du Parc national du Diawling en Mauritanie, a salué l’organisation de cette activité dédiée à la recherche. Durant l’atelier, divers sujets, notamment la conservation de la biodiversité, la restauration des écosystèmes, ainsi que l’exploitation agricole et minéralière, ont été explorés par des experts, comme le souligne l’article de l’APS.

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