Ce lundi, la Chambre criminelle de Louga siège pour sa deuxième session au Tribunal de Grande Instance de Louga. Huit affaires sont inscrites au rôle avec des faits de meurtres, d’infanticides entre autres.
Mais celle du viol suivi de l’assassinat de la fille Sokhna Ndiaye qui avait été violée puis tuée en 2013 défraie la chronique à Louga.
Dans une nuit de février 2013, cette fille de 23 ans, qui était sortie du domicile familial à la recherche de ses deux petites sœurs qu’elle avait envoyée a été retrouvée plus tard sur les parois du mur de l’Ecole Artillerie, violée puis tuée, et des traces de spermes sur son corps.
L’enquête diligentée à cet effet avait permis l’arrestation d’un certain Mouhammed Ndiaye dit Naby et de Mame Abdou Sarr présenté comme l’amant de la victime. Ce dernier d’ailleurs s’évadera de la Maison d’arrêt de Louga avant d’être appréhendé, quelques mois plus tard, en territoire mauritanien.
Suivront tour à tour, le cas de Rama Kâ, poursuivie pour infanticide, de Amadou Sada Kâ et Cheikh Sow accusés de meurtre dont l’affaire, enrôlée à la première session, a été renvoyée et programmée à la présente audience. Suivra le cas de Gora Fall poursuivi pour tentative de meurtre, Abdoulaye Barry pour incendie volontaires.
Aveclogawebmedias
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