Depuis quelques temps, l’espace politique sénégalais est traversé par un vent d’insolence et d’inélégance sans précédent fait d’une indécence qui a fini de salir l’approche que l’on doit avoir de la politique.
On peut comprendre que des membres de l’opposition et du pouvoir entrent en « guerre » par des sorties d’irrévérence colorées de calomnie les uns pour les autres.
Mais si cela se passe dans un camps, surtout du côté du pouvoir, nous en arrivons alors à un contexte craintif, déconfit et alertant.
Il nous faut prendre les devants. Trouvons les solutions idoines. Ainsi une seule voie s’offre aux partis : la création d’écoles internes pour le militant. Bien le former. La culture et la bonne éducation nous préservent de l’impertinence.
L’inculture politique, le manque de maîtrise des directives et règlements intérieurs souvent inexistants ou sans valeurs aux yeux des militants sont à coup sûr les éléments explicatifs de ce que nous vivons aujourd’hui au Sénégal et ce, dans les partis politiques.
Rien que des défenestrations dans notre tissu social. Des insultes qui définissent le degré de haine qui brûle les cœurs de certains de nos élus.
Il est temps de recadrer les choses pour la classe politique qui nous représente. Il faut impérativement imposer la mise en place d’écoles de partis pour la formation.
un president wui ne montre pas un bon excemple comme ont dit ce rassemble sassemble un presudent qui protege des malfaiteurs cest indigne ce pays est foutu il faud voler piur faire ma politique cest indigne ce president a passer a cote