Monsieur le ministre,
J’ai lu avec intérêt votre tribune parue sur le site internet Dakaractu titré : « La politique étrangère du Sénégal à l’épreuve de la crise turque ».
J’évoquais hier le sujet avec un ami et c’est donc gentiment qu’il m’a suggéré aujourd’hui de lire votre texte. Malheureusement, c’est avec tristesse que je me suis rendu compte que votre tribune était un plagiat manifeste d’un article d’Ariane Bonzon paru le 23 décembre 2013 et mis à jour le 16 juillet 2016 sur Slate.fr. Il est consultable en cliquant sur le lien suivant : http://www.slate.fr/story/81495/gulen-etat-turquie-erdogan
Ancien ministre et personnalité de notre pays, vous devriez éviter cette légèreté qui n’honore ni votre rang ni le Sénégal.
Monsieur Ndiaye, un acteur du débat public a fortiori quelqu’un qui a eu l’honneur de servir notre pays à la station élevée de ministre, devrait se garder de commettre cette malhonnêteté intellectuelle.
Les hommes politiques ne peuvent pas demander aux citoyens d’être irréprochables au quotidien et se refuser à une pareille exigence. Il y a un contrat qui devrait nous lier, et que votre attitude ne sert pas.
Cet exemple de plagiait, parmi tant d’autres forfaits récents de nos hommes politiques, ont contribué à jeter le discrédit sur une classe politique en rupture avec le peuple.
Je vous invite avec courtoisie à vous prémunir de ce type de pratiques qui certes peuvent passer quelques fois mais pas toujours car nous sommes une génération – internet aidant, qui lit tout, qui s’informe et qui se documente.
Avec mes sentiments patriotiques,
Hamidou Anne
wawe ki kaye boudonne glass saiyna bou yague
ADRIAN BONZON DIXIT: « La néo-confrérie Gülen permet à des professeurs, des médecins, des ingénieurs turcs de pouvoir vivre leur religiosité dans la vie civile, mais elle est régulièrement prise pour cible et muselée par l’establishment militaro-séculaire qui la soupçonne de vouloir étendre ses ramifications au sein de l’appareil d’Etat. » »
BAMBA REPRODUIT: La néo-confrérie Gülen a pour vocation de permettre à des professeurs, des médecins, des ingénieurs turcs de pouvoir vivre leur religiosité dans la vie civile, mais elle est régulièrement prise pour cible et muselée par l’establishment militaro-séculaire qui la soupçonne de vouloir étendre ses ramifications au sein de l’appareil d’Etat.
ADRIAN BONZON DIXIT: « Bridé et surveillé à l’intérieur de la Turquie, le mouvement devient transnational à partir des années 1990 avec toujours la même idée: construire des écoles plutôt que des mosquées. D’abord en Asie centrale puis en Europe, aux Etats-Unis, en Asie et depuis quelques années en Afrique. À ce jour, il compterait quelque 500 écoles dans une centaine de pays. »
BAMBA REPRODUIT: Bridé et surveillé à l’intérieur de la Turquie, le mouvement devient transnational à partir des années 1990 avec toujours la même idée: construire des écoles plutôt que des mosquées. D’abord en Asie centrale puis en Europe, aux Etats-Unis, en Asie et depuis quelques années en Afrique. À ce jour, il compterait quelque 500 écoles dans une centaine de pays.
ADRIAN BONZON DIXIT: « Des entrepreneurs, des hommes d’affaires d’Anatolie, pieux et modestes le plus souvent, s’exportent aussi. Le mouvement a sa propre organisation patronale, Tuskon, ses journaux, le groupe Zaman, et de nombreuses associations. Il organise des conférences et des colloques en Turquie et dans le monde entier, les livres de Fethullah Gülen sont traduits dans de nombreuses langues. C’est un mouvement global, cependant fortement teinté par le nationalisme turc. »
BAMBA REPRODUIT: « Des entrepreneurs, des hommes d’affaires d’Anatolie, pieux et modestes le plus souvent, s’exportent aussi. Le mouvement a sa propre organisation patronale, Tuskon, ses journaux, le groupe Zaman, et de nombreuses associations. Il organise des conférences et des colloques en Turquie et dans le monde entier, les livres de Fethullah Gülen sont traduits dans de nombreuses langues. C’est un mouvement global, cependant fortement teinté par le nationalisme turc », renseigne un quotidien français.
SAUF POUR LE DERNIER PARAGRAPHE OU LA CITATION A ETE MISE ENTRE GUILLEMETS, LE UOTIDIEN CITE INCOMPLETEMENT (slate.fr) et l’auteur Andrian Bozon EST NON ECRIT FORMELLEMENT, IL Y A BEL ET BIEN EU PLAGIAT. Si Bamba l’a fait, ce n’est probablement pas la première fois…. IL FAUDRA VISITER SES DOCUMENTS CLES TELS QUE SA THESE (s’il en a)ou SON MEMOIRE DEA(je doute qu’il ne dépasse ce niveau) pour voir ce QU IL POMPE DES AUTRES SANS LES CITER. L’habitude est une seconde nature, et elle revient toujours au galop ….
Désolé Mr Anne j ai lu l article dont vs faites référence et l analyse de ame Bamba NDIAYE mais vous exagérez en qualifiant son intervention de plagiat.
Je laisse les autres lecteurs prendre connaissance des deux textes et tirer leurs conclusions
Pris la main dans le thiaya. Ce tricheur ne m’a jamais convaincu à propos des articles qu’il poste sur le web.