Alioune Tine, président fondateur de AFRIKAJOM Center est très préoccupé face à l’aggravation du contentieux préélectoral qui durcit chaque jour et créée une fuite en avant de la logique d’exclusion des listes électorales, qui risque de devenir une menace pour la survie de l’Etat de droit au Sénégal.
« Aujourd’hui, on a atteint un seuil critique de l’autodestruction du système politique et démocratique au-delà duquel il n’existera plus de démocratie, ni d’Etat de droit au Sénégal. Jamais l’horizon d’élections législatives au Sénégal n’aura été aussi incertain, sombre, confus et indécidable au regard des menaces réelles d’effondrement du système auxquelles on assiste en direct avec des révélations tonitruantes portant sur les difficultés liées à l’application du parrainage ou de la loi sur la parité, par certains acteurs politiques. Ce qui peut entrainer de façon absurde et catastrophique l’absence d’une représentation légitime et inclusive des citoyens sénégalais à l’Assemblée Nationale. Or, l’élection doit être une fête pour le citoyen électeur et une célébration de l’Etat de droit démocratique », lit-on dans un communiqué d’AFRIKAJOM Center.
AFRIKAJOM Center, considérant notamment que la Constitution sénégalaise en son article 3 garantit la liberté de candidature et que l’article 13 (1) de la Charte africaine des droits de l’Homme et de peuples intégrée dans le Préambule de la Constitution stipule que : « tous les citoyens ont le droit de participer librement à la direction des affaires publiques de leur pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis, recommande au Conseil Constitutionnel du Sénégal, organe de régulation du Contentieux électoral, d’agir de manière à apaiser les tensions politiques grandissantes et les risques de violences politiques.
Prenant en compte également l’intérêt supérieur de la Nation; AFRIKAJOM Center recommande au Conseil Constitutionnel du Sénégal, organe de régulation du Contentieux électoral, d’agir de manière à : « Apaiser les tensions politiques grandissantes et les risques de violences politiques, Renforcer le système démocratique, la paix et la sécurité, Contribuer à l’avènement d’une institution parlementaire plurielle et inclusive ».
Il devient de plus en plus anarchiste. Pendant que nous y sommes, Alioune Tine n’a qu’à proposé qu’aucune loi ne soit opposable aux opposants, et tout le monde sera tranquille.
Il faut annuler ces legislative et revoir la loi electorale. Aucune liste ne va passer. Ce parainnage et tout ces problem cest le resultat d’un system mis en place pour eliminer des adversaires politiques. BBY a fini par tomber dans son propre piege. YAWI, AAR Senegal etc.. persone ne survivra a cette loie electoral.
Ah non Mr Alioune Tine vous n’avez pas le droit de demander au conseil constitutionnel de rentrer dans ce jour de compromission et de magouille, c’est dangereux et indigne.
Le droit n’a qu’à être dit quelque soit les fautifs.
Arrêtez vos magouilles de politiciens et dites le droit ou fermez là.