Langues nationales et nouvelles technologies : Diomaye redéfinit l’école sénégalaise (Vidéo)
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a présidé ce jeudi la cérémonie du Grand Prix du Chef de l’État pour l’Enseignant. Le lauréat de cette édition est Bara Mbengue, professeur d’Histoire-Géographie au CEM de Louga Commune. Le Président Bassirou Diomaye Faye annonce une transformation profonde du système éducatif sénégalais. À travers l’intégration des langues nationales, des nouvelles technologies
Lors de son discours, le Chef de l’État a salué l’ensemble du corps enseignant sénégalais, soulignant leur rôle essentiel dans la formation des générations futures. « J’ai été façonné par des enseignants. À toutes celles et ceux qui ont marqué mon parcours, je tiens à dire merci », a-t-il déclaré devant un parterre d’autorités, de syndicats, de parents d’élèves et d’acteurs de l’éducation.
Le Président Faye a également réaffirmé son ambition de transformer le système éducatif sénégalais, notamment par l’intégration des langues nationales, des nouvelles technologies et d’une approche plus humaniste de l’éducation. « L’enseignant est au cœur de cette transformation. Il forge les consciences et prépare notre jeunesse à un monde en perpétuelle évolution », a-t-il souligné.
Et objectif pour le Président Faye de bâtir une école plus inclusive, en phase avec les défis du monde moderne et les réalités locales.
Ce prix, au-delà de la reconnaissance symbolique, s’accompagne d’une distinction nationale. Bara Mbengue a été élevé dans l’Ordre National du Lion, une décoration qui lui sera remise ultérieurement par le ministre de l’Éducation nationale. Il reçoit également une récompense de 20 millions de FCFA, en guise d’encouragement et de reconnaissance de son engagement exceptionnel.
En concluant son discours, Bassirou Diomaye Faye a rappelé l’importance de valoriser la profession enseignante et a exhorté les acteurs de l’éducation à poursuivre leurs efforts pour bâtir un Sénégal plus fort, plus juste et plus solidaire.
Do hande woni weltaare nde ala kaddi .tawa longol mako ngol di selli wadara hedihedango
Cordialement cette idée est certe fait la joie de ttt sénégalais si seul tt se passe l’injustice
Bédou magique
Devenez riche en sans aucun inconvénient . + deux cents vingt neuf 4 6 5 1 0 7 0 3.
Heway nio niakk chance, nioune wa senegal
walaahi
lii lepp à cause des guerres des hommes politiques
ce type qui ne pouvait pas être Maire de Ndiaganiaaw se retrouve au palais comme ça pour 5 ans pour des opérations de set setal et des voyages en gambie/mauritanie/guinee bissau
Les solution sont :
1. Apprendre en wolof les maths et toutes les sciences
2. A défaut d’augmenter les salaires, octroyer des terrains dans les périphéries des villes aux enseignants
3. Donner des primes aux professeurs de sciences
4. Evaluer les professeurs et enseignants par la réussite de leurs élèves aux examens
5. Faire des cours de pratiques l’après midi : forgeron, menuiserie, tapissier,
6. Apprendre le rangement et la finition (en gros rendre un travail de qualité) dès la primaire.
Mince ! Il va falloir écrire des milliers de livres de math ou physique ou chimie ou biologie … en wolof. Qui va payer ?
C’est comme ça que marche une économie. Les sénégalais vont payer via les impôts qui ont permis de payer les salaires des membre des collectivités territoriales, des membre du conseil économique et social qui continuent de payer les salaires des agents de la poste alors que cette société ne fait presque plus de chiffre d’affaires…
Et avec ces livres, les imprimeurs vont travailler, les enseignants en charge d’écrire et d’améliorer ces livres avoir des droits sur les publications, les marchands de livres vont vendre encore plus de livre et au final, nos éleves vont bien comprendre les sciences qu’ils étudient à l’écoles et demain ils façonneront leur environnement