L’ambassadeur d’Iran à Dakar dénonce des crimes contre l’humanité…
Hassan Asgari, ambassadeur de l’Iran à Dakar, a fermement condamné les actions du régime sioniste contre les Palestiniens, les qualifiant de crimes de guerre et de génocide. Selon lui, ces actions, qui incluent des massacres de masse et des attaques contre des structures civiles, représentent les violations les plus graves du droit international. Il appelle la Cour pénale internationale à juger ces actes pour prévenir leur répétition. Asgari souligne que la communauté internationale, y compris les Nations unies, doit agir pour stopper ce qu’il décrit comme un régime terroriste. Il mentionne également l’assassinat de Hassan Nasrallah comme preuve de la nature agressive du régime.
L’ambassadeur souligne que la crise de Gaza, un an après l’opération « Tempête d’Al-Aqsa », reste urgente. Selon lui, le régime sioniste a recouru à des méthodes atroces pour compenser ses échecs lors de cette opération. Asgari décrit une série de violations horribles, comme des bombardements stratégiques, des restrictions humanitaires sévères, et une campagne systématique contre des civils palestiniens. Il déplore également le silence des institutions internationales face à ces exactions.
Le diplomate iranien accuse le régime israélien d’avoir franchi toutes les limites sauf l’utilisation de l’arme nucléaire. Il affirme que ces actions ont suscité une indignation mondiale et une solidarité accrue en faveur des Palestiniens. Asgari considère que les États-Unis, en tant que principal soutien d’Israël, doivent être tenus responsables. Il appelle à une condamnation internationale et à une mise en œuvre rapide du droit à l’autodétermination des Palestiniens.
Il fait valoir que pour garantir la paix, il est essentiel d’interdire l’usage des armes de destruction massive. Asgari propose un référendum pour que tous les Palestiniens puissent décider de leur avenir, estimant que cela permettrait une coexistence pacifique entre différentes communautés religieuses sur une même terre. Il conclut en exhortant la communauté internationale à instaurer un cessez-le-feu durable et à stopper la violence dans la région avant qu’elle ne prenne une ampleur mondiale.