Sous l’égide du Grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop, la cérémonie « Niaanou Ndakarou » et « Saarraakou Ndakarou » a rassemblé imams, chefs traditionnels, notables et citoyens autour d’un rituel aussi ancien que puissant.
Occasion pour le Grand Serigne de rappeler l’origine multiséculaire de cette cérémonie, née au tournant du XIXe siècle, et réaffirmé son ancrage dans l’identité dakaroise et sénégalaise « Ce n’est pas une prière des Lébou seulement. C’est une prière de Dakar, pour tout le Sénégal ». Mais cette année, l’alarme est plus vive : « Les mauvais esprits sont parmi nous », martèle-t-il, accusant ces forces invisibles d’alimenter l’instabilité sociale. Les prières, soutenues par l’imam ratib Alioune Moussa Samb, ont donc été dirigées vers la restauration de la paix, de la foi et d’un nouvel équilibre spirituel.
La vie m’a montré que chacun est libre de ses croyances.
L’essentiel est de ne pas imposer aux autres sa croyance.
Par contre je ne sais pas qui a déjà vu les forces invisibles quel que soit le nom que l’on donne…
J’ai fait le choix de la rationalité tout en gardant mon patrimoine familial religieux et culturel, tout en refusant de me soumettre à qui que ce soit.
On croit rêver !
Le paganisme et l’islam main dans la main et personne ne dit rien !
CETTE TRADITION QUI NOUS A VU NAÎTRE ET GRANDIR DOIT CONTINUER A PERSEVERER AVEC L,APPUIE DES AUTORITÈS.