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La Matinale Senego : Cherif Monteil et les Déboires de Ney Leer

Bonjour et bienvenue dans la matinale de Senego du samedi 26 juillet 2025. Aujourd’hui, nous faisons le point sur les sujets les plus discutés dans la nuit. Voici les trois dossiers brûlants de l’actualité sénégalaise qui ont retenu l’attention.

Le premier sujet concerne la censure par le Conseil constitutionnel de plusieurs articles du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, adoptés le 27 juin dernier. Ces dispositions, notamment celles permettant aux députés de convoquer des magistrats en exercice dans le cadre de commissions d’enquête, ont été jugées inconstitutionnelles. Cherif Monteil, ancien député, avait prédit cette décision et critique l’Assemblée nationale d’aller au-delà de ses pouvoirs constitutionnels. « L’Assemblée nationale ne peut pas convoquer des magistrats en exercice », déclare-t-il avec fermeté, insistant sur le respect de la séparation des pouvoirs établie par la Constitution sénégalaise. Pour lui, les mesures censurées reflètent une élaboration législative hâtive et insuffisamment rigoureuse. Retrouvez tous les détails ici dans l’article de notre confrère.

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Ibrahima Guèye, alias « Ney Leer », est un autre centre d’attention après avoir été placé en garde à vue par la Division spéciale de la cybercriminalité. Ce vendredi, il a été appréhendé suite à une plainte déposée par Bouba Ndour pour menaces et injures publiques. Dans une vidéo virale, Guèye, affilié au parti Pastef, proférait des propos menaçants et injurieux envers Bouba Ndour et Youssou Ndour. Bien qu’il ait présenté des excuses publiques, les autorités ont décidé de maintenir la procédure judiciaire. Les déboires de Ney Leer interviennent dans un climat de tensions exacerbées par les polémiques entourant un autre acteur politique, Badara Gadiaga, incitant Guèye à des réactions qui lui valent désormais de sérieux ennuis judiciaires. Pour plus d’informations, accédez à cet article détaillé.

Pape Amadou Fall, analyste politique, s’est exprimé sur les tensions au sein du parti Pastef, pointant les risques que ces conflits internes font peser sur l’État. Il évoque un contexte économique difficile, accentuant les enjeux de stabilité politique. Selon M. Fall, ces divergences compromettent la cohésion du parti au pouvoir, mettant en péril la stabilité du pays. Il alerte sur l’influence ambiguë des réseaux sociaux, qui, bien que puissants, peuvent nourrir des dérives et faussetés. Pour lui, une action organisée de la direction du parti est urgente pour ramener le débat sur des sujets politiques de fond. Consultez l’analyse approfondie sur Senego.

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La Matinale Senego : Cherif Monteil et les Déboires de Ney Leer

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6 commentaires

  1. ABT

    LIMA METTI REK ETAT BI SOU MOYTOUWOUL DINA TOMBÉ CI PIEGEOU OPPOSITION BI NGA KHAMNÉ YAKHAL LENE, BENIOU ECHEC , DIAKHASSÉ LENE AK POPULATION BI , SOUBAK NGONE , SAASSOUNEK CI LANIOUY KHEUYE.

    BAYILENE LENE TÉ LIGUEYE , LES SENEGALAIS SONT MATURES MAINTENANT KOU LIGUEYE NIOU FALLAH, KOU LIGUEYOUL NIOU FOLLILAH


  2. Zack

    Les ministres répondent bien à l’assemblée nationale ( étant l’exécutif ). Le judiciaire ( qui rend la justice au nom du peuple) doit répondre devant les représentants du peuple


  3. Zack

    Qui est mieux placé pour contrôler les actions , décision de justice 🤷🏽‍♂️ ( on peut pas être juge et parti)


  4. Zack

    Ces magistrats prennent des décisions qui impact la vie de personnes sur plusieurs mois, années c’est très normal de répondent à l’assemblée nationale


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