L’université Assane Seck de Ziguinchor a connu des « tensions » en lien avec ses chantiers non achevés, exigeant la livraison des sites selon les engagements du ministre. Face aux agressions matérielles, le conseil académique demande la cessation immédiate des violences.
Dans une déclaration ferme, la Coordination Étudiant décrit une « dénaturation des droits » et condamne la fermeture comme « une atteinte à l’équilibre de la communauté universitaire ». Le recteur alerte que ces arrêts de cours sont une réponse nécessaire face à des manifestations incontrôlées.
La CEUASZ refuse ce qu’elle perçoit être une « intimidation » de la part de l’administration, insuffisance qu’elle bie cependant à la « non-exécution » des travaux promis. Cette incompréhension pourrait mener à une session unique, impactant directement les examens en cours.
Les revendications dépassent les frontières de l’université, obtenant le soutien d’autres étudiants du Sénégal, solidaires dans cette « crise de l’éducatif » qui interpelle à une solution rapide pour éviter la généralisation de cet état de crise.
Le dialogue, réclamé par la CEUASZ, pourrait permettre de dénouer ces tensions tout en relançant le processus académique sans heurts. Les autorités universitaires restent ouvertes aux discussions à condition que les étudiantes cessent leurs actions d’opposition directe.