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Jean Meïssa Diop : "Clédor Sène doit surtout nous dire qui a tué Me Babacar Sèye"

Le débat n’est pas tranché. Les sorties médiatiques de Clédor Sène depuis l’éclatement du scandale de 10 milliards de dollars dans le pétrole et le gaz sénégalais, mettant en cause Aliou Sall, ne sont pas du goût de tout le monde. Le journaliste Jean Meïssa Diop, estime que donner la parole au leader de ‘’Claire vision’’, ne respecte ni l’éthique, ni la morale.

« Clédor Sène ne peut pas devenir une star comme ça. Il ne doit pas occuper les médias de la sorte. Cela ne respecte ni l’éthique, ni la morale », a déclaré l’ancien Directeur de publication de Walf Grand’Place, sur la RFM.

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Selon lui, « si Clédor Sène a tant à dire, il n’a qu’à nous dire, qui a tué Me Babacar Sèye ». Et d’embrayer, « imaginez aujourd’hui la peine que doit avoir la famille de Me Babacar Sèye, en voyant tout le temps Clédor Sène à la télévision ».
Avec Leral

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76 commentaires

  1. slt Jean il faut que tu te retourne chez les Sall et leur dit de nous remboursé nos 6000 000000 CFA je pense que c’est ce que on attend de vous journalistes de métier le peuple sénégalais est très fatigué fait très attention


  2. Mr Jean meissa vraiment vous faites honte a votre profession si vous voulez savoir qui a tué Me Babacar Seye il appartient a la justice Senegalaise de tirer l affaire au clair mais pas a cledor Sene


  3. Ibou

    Jean Meissa est un hypocrite un traître et un vendu. Va te faire foutre. Levez la loi ezan.

    Sinon va dire à tes maîtres de nous édifier sur le pétrole. Connard


  4. Avec toi comme directeur de publication je comprends mieux maintenant pourquoi ,walf grand place a périclité,tout le monde peut tenir ce genre de raisonnement sauf un journaliste qui se dit professionnel de la communication


  5. MBAYE

    DES GENS COMME JEAN MEISSA DIOP ET DAOUDA MINE SONT UNE HONTE POUR TOUTE LA CORPORATION DES JOURNALISTES. ILS SONT SES JOURNALISTES ALIMENTAIRES


  6. Mr Paul Bassene, demande à Clédor de ns Édifier d’abord sur la mort de Me Babacar SEYE ce grand magistrat qui a servi notre pays et pour des intérêts égoïstes son sang à été coulé par des individus qui doivent êtres misent au poteau


  7. Je veut dire faire sortir clèdor de LA prison ET lui donner beauçoup d argent pour qu IL part s installer end Gambie clèdor est un vrai criminel clèdor Anna Ahmed guèye ET consor clèdor fou nou LA paix


  8. Qui a arranger Avec LA famille ET ensuite faire clèdor de LA prison ET lui Donner beaucoup pour que IL part installer engineer Gambie c est abdoulaye wade clédor est in criminel


  9. Demande ça à Mody Sy membre de APR proche de Macky Sall. nommé Président du conseil d’administration de la SONES par M. Macky Sall il en sait quelque chose.


  10. amadou

    j;ai une petite question pour les senegalais on t;atone entre des milliard voles tantot tantot un contrat qui ne devait pas etre signer comme quoi fank timiss n;a ni l;argend ni les competances qui a confirme l;existance de ces resource depuis lk;independence? je ne nie pas les fais car je ne conait pas le dossiers mais moi a la place de tout le peuple senegalais je fairai attention au politiques


  11. Jean Meissa, j’aimais bien lire vos articles et contribution mais j’avoue cette fois, vous êtes complètement passé à coté pour ne pas dire tombé très bas. La seule et unique chose qui intéresse les sénégalais, c’est ce scandale du pétrole avec ces deux délinquants de frères Sall !!!


  12. Jean Meïssa Diop, allons plus loin dans votre sale raisonnement. DEMANDONS AUSSI À MODY SY DE MATAM IMPLIQUÉ DANS CETTE MÊME ASSASSINAT DE Me BABACAR SÈYE QUI APRÈS SA LIBÉRATION EST DEVENU MEMBRE DE APR ET À ÉTÉ NOMMÉ PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA SONES PAR MACKY SALL. qu’est ce que vous en dites de LUI ?? Nous avons tout son dossier. SALL CRÉTIN MEÏSSA DIOP


  13. Tu es vraiment hors sujet si tu crois qu’il y a des imbéciles comme toi au Sénégal pour te suivre alors tu te trompes. On t’a payé pour détourner le débat c’est peine perdue. Il y a un vieux qui a été accusé dans cet assassinat et a été emprisonné. Cette personne a été récupérée par macky Sall et occupe un poste de responsabilité


  14. Tu es journaliste ou tu es politicien ou tu es avocat?? Maitre Ousmane Seye lui il est avocat,politicien,conseiller et membre de la mouvance présidentielle ce qui fait de lui l’un des avocat qui a plus d’honoraires en défendant l’etat du Sénégal


  15. Est-ce du mépris ? Qui est ce journaliste inconnu ? Le Senegal va à la dérive. Ce monsieur ne doit pas parler ainsi, il se fait trop petit.

    Jalousie, méchanceté, inconscience, manque d’éthique ou ignorance ? Toute personne a droit à s’information, soit d’en recevoir ou d’en donner.


  16. Paix et salut sur Maître Seye..mais nak doul way à vous qui essayez de nous détourner de l’essentiel….Cledore au fond de lui sait qu’il etait l’agneau du sacrifice face à ce crime d’État..sa conscience est tranquille face à ce crime sinon il ne se pavanera pas comme ça…le jour où cette vérité éclatera bilaay y’aura qui vont raser les murs..on était là ce jour-là et étions des témoins de ce crime odieux…Maître Babacar Seye voulait donner la victoire à l’opposition donc pourquoi celle ci voudrait l’assassiner???

    De toutes façons ce qui intéresse les sénégalais ce n’est ce crime qui date de l’époque, mais du ndiouth ndiath de Macky Sall et de son frère par rapport au pétrole et gaz et de tous autres ressources naturelles…on oublie pas Mbaye Prodac et les 94 milliards de l’autre prête nom …n’essayez pas de noyer le poisson..


  17. Encore un crétin de journaliste au solde des sall pour le sale boulot. Pervers parles nous plutôt des journalistes que t’as harcelé au point qu’elles aient été obligé de quitter


  18. Le samedi 15 mai 1993, six jours après la tenue des élections du 9 mai 1993, pendant que les Sénégalais attendent les résultats du scrutin, un éminent fils du pays, ancien député maire de Saint-Louis, vice-président du Conseil constitutionnel, est assassiné.

    Aux environs de 15 heures, après une séance de travail, Me Babacar Sèye quitte son bureau au Conseil constitutionnel pour rejoindre son domicile à Dieuppeul. Il emprunte la Corniche-Ouest à bord de son véhicule de fonction R25 immatriculée DK-9110-G. Son chauffeur Abdou Aziz Ngom et son garde du corps, le brigadier-chef de police, Momar Niang, agent de la Brigade d’intervention polyvalente (Bip), l’accompagnent. A hauteur de la rue des Ambassadeurs au Point E, les occupants d’une voiture criblent de balles le véhicule du Président Sèye, le blessant grièvement avec son garde du corps.

    Le chauffeur accélère, engage la voiture sur la route de la Corniche Ouest. Il est pris en chasse par les occupants d’une Peugeot 505. A hauteur de l’intersection de l’avenue Martin Luther King et celle des Ambassadeurs, alors que la voiture du juge s’apprête à tourner à droite, elle est encore criblée de balles. Me Babacar Sèye est touché mortellement à la tempe gauche ainsi qu’au genou gauche. L’agent de la Bip, bien que grièvement atteint, réussit, au prix d’un immense effort, à avertir, par radio, les services de police qui sont aussitôt venus leur porter secours.

    Le chauffeur s’en sort indemne. Tandis que blessé, Me Sèye, est admis au bloc opératoire de l’hôpital Principal. Son décès est constaté à 15h 35. Le dimanche 16 mai 1993, la levée du corps a eu lieu à l’hôpital Principal. Et l’inhumation le même jour en fin d’après-midi, au cimetière Tiaka Ndiaye, de Saint-Louis. L’enquête déclenchée finira par identifier Amadou Clédor Sène, Assane Diop et Pape Ibrahima Diakhaté comme étant les membres du commando ayant ôté la vie au juge constitutionnel.

    Après une instruction ayant duré plus d’un an, leur procès débute le lundi 26 septembre 1994 devant la Cour d’assises de Dakar. Et le 30 septembre de la même année, Amadou Clédor Sène est déclaré coupable d’assassinat et condamné à 20 ans de travaux forcés. Assane Diop et Pape Ibrahima Diakhaté écopent de 18 ans de travaux forcées. Même s’ils ont été graciés en février 2002 par le président Abdoulaye Wade et amnistiés le 7 février 2005 en faveur de la loi dite Ibrahima Isidore Ezzan, ils n’en demeurent pas moins des assassins. Ils ont été déclarés coupables de ces chefs et suivant les dispositions du code de procédure pénale, ils ont écopé de peines afflictives et infamantes. Ils ont ainsi perdu jusqu’à leurs droits civiques.

    En 2017, le même Clédor Sène est condamné, à nouveau, par le tribunal correctionnel de Dakar pour «abus de confiance». Aujourd’hui, cet homme veut se découvrir une nouvelle virginité. Il veut s’ériger en parangon de vertu, en sentinelle de la démocratie. Il multiplie les sorties médiatiques et écument les plateaux de télévision. Pour ma part, je pars du principe qu’une source crédible conduit à un reportage crédible. Comme nous l’avons tous appris, la source journalistique est en quelque sorte un fournisseur d’informations. Il donne au journaliste la matière dont il a besoin pour construire la nouvelle. Le journaliste est un peu comme un cuisinier qui prépare un repas : il doit varier ses ingrédients et choisir les épices qui rehausseront le goût des aliments, mais il doit quand même vérifier si ce qu’il utilise est périmé ! Moi j’estime que Clédor Sène est périmé. Il n’est ni plus ni moins qu’un assassin. Il fait partie de la race des contre-valeurs. Il ne peut pas et ne doit pas être un héros. Il ne peut pas et ne doit pas être une source crédible de la presse. A moins que ce soit une affaire le concernant directement ».


  19. ET la peine des millions de sénégalais privés des services sociaux de base..à cause des milliards de dollars détournés par des politiciens que vous journalistes cotoyez toujours ?


    • Farou

      Jms je vous demande de vous relire sur le texte que vous produit sur le conflit s intérêt attention !!! Tu peux prendre certain pour des amnésiques mais pas tout le monde nous disons clairvision toi tu oui avec le peuple autrement tu ferme ton cul


  20. Laye

    Melissa tu as raison. Le jour où il nous délester de ce fardeau. La mort de Maître ce jour il peut parler. Échapper à la vérité par amnistie c est injuste. Il doit parler maintenant


  21. Je suis désolé Jean mais je pense que cette question devait être posée à celui qui qui l’a amnestié sans être inquiété, et par vous qui étiez tombés sous son charme.


  22. Vous avez parfaitement raison cet assassin de première catégorie n a qu a se taire il passe tout son temps a dire du n importe quoi dans les médias il doit remercier ablaye wade de l avoir sorti de son trou sinon il allait mourir en prison jusqu’à présent tout le monde peut parler sauf lui et ses complices qui ont assassiné maître seye. Allez vous faire foutre cledor chez les grecs espèce de charlot.


  23. De grâce ne nous détourne pas du vrai débat.

    Aujourd’hui il est question d’apporter de l’éclairage sur un dossier mettant en cause la transparence dans la gestion de nos ressources naturelles.

    Monsieur Sene en tant que Sénégalais, s’il détient des informations qui peuvent faire avancer ce dossier qui nous tient tous à coeur, je ne vois pas ce qui pourrait l’en empêcher.


  24. charles

    CHER MONSIEUR DEMANDE A TON AMI ET PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE.MAIS POUR ALIOUNE SALL IL SAGIT DE VOLE.ON VEUT JUSTE SAVOIR NOUS AUSSI:SI C’EST VRAI OU SI C’EST FAUT,TOUT SIMPLEMENT.MERCI MONSIEUR J.M.DIOP.


    • ndoye

      26 ans après la mort tragique de Me Babacar Sèye, le mystère

      qui entoure sa disparition reste irrésolu. Moussa Sène Absa, l’auteur du film «l’Affaire Sèye : le

      festin des vautours», est convaincu que Clédor Sène, Pape Ibrahima Diakhaté et Assane Diop, les coupables

      désignés dans l’assassinat de Me Babacar Sèye, sont innocents et qu’il faut plutôt chercher du côté du

      pouvoir de l’époque à savoir le Parti socialiste (Ps).

      Moussa Sène Absa, le réalisateur du film L’affaire Sèye : le festin des vautours, est convaincu

      que ce n’est pas la bande des 3 composée de Pape Ibrahima Diakhaté, Assane Diop et Clédor Sène qui est

      derrière l’assassinat de Me Seye. «Il y a beaucoup de versions mais ma conviction personnelle c’est que

      ce n’est pas Clédor Sene. Ce n’est pas la bande des 3 qui a assassiné Me Sèye», a-t-il souligné au terme

      de la projection du film ce vendrdi au complexe cinématographique Sembène. Le réalisateur qui a fait 4h

      d’interview avec Clédor Sène sans les utiliser, écouté plusieurs versions, fait des recherches et lu

      tous les livres écrits sur l’affaire, soutient que Clédor et sa bande ont été «instrumentalisés».

      «D’après Clédor, ils ont fait une simulation. Ils n’ont jamais tiré. Leur version concorde avec celles

      des avocats. Ce n’est pas eux qui ont tué Me Sèye. Je le tiens de Clédor Sène lui-même… Je persiste à

      dire que Clédor et Diakhaté ne sont pas ceux qui ont tué. Evidemment ils ont été instrumentalisés»,

      dit-il. Dans son film, le réalisateur ne donne certes pas la parole à la bande des 3, ni à

      Abdoulaye Wade, mais d’autres intervenants comme Mody Sy, ancien député du Pds qui avait été arrêté

      après l’assassinat de Me Sèye, et Franky, un compagnon de Wade, témoignent. De même la famille de Me

      Sèye, notamment son fils Abdy Sèye, sa femme Tabara Niang, sa fille Alimatou Sadiya qui, trouvés à la

      maison familiale à Saint-Louis, reviennent sur cette triste journée du samedi 15 mai 1993 et ce qu’a été

      leur calvaire. Dans le film que le réalisateur à plutôt voulu aborder sous le «prisme familial», les

      amis de Me Sèye, les avocats, un témoin de l’assassinat, Jean-Paul Dias prennent eux aussi la parole

      pour raconter leur part de vérité en relevant les «incohérences» du dossier, ou partageant leur

      sentiment d’avoir assisté à une «enquête bâclée». Sur ce dernier point, Momar Ndao, le président de

      l’Asso­ciation des consommateurs du Sénégal (Ascosen) qui a également assisté à la projection, a voulu

      apporter quelques précisions. Ce dernier, qui avait apporté son aide au pool des avocats de Me Sèye,

      soutient que les choses racontées sur la mort de Me Sèye ne tiennent techniquement pas la route. «Par

      rapport aux dégâts sur le véhicule, par rapport à la position de Me Sèye, du chauffeur et du

      garde-corps, il était matériellement impossible de l’avoir tué dans les conditions décrites»,

      remar­que-t-il. Mais aujourd’hui ce qui est plus important pour le réalisateur, ce n’est pas de

      susciter la polémique. Bien au contraire. «Mon dessein n’était pas de susciter la polémique. Mais plutôt

      d’aborder une page peu glorieuse de notre histoire, un pan particulier de notre démocratie. J’ai fait ce

      film pour marquer d’une pierre ce passage troublant de note démocratie», disait Moussa Sène Absa avant

      le début de la projection. Au-delà, «c’est une réflexion personnelle sur le devenir de notre pays,

      surtout dans ce contexte pré-électoral», souligne le cinéaste. En outre, il rend aussi hommage à cette

      figure emblématique en peignant un magistrat, maire et vice-président très attaché à la vérité, un homme

      qui abhorre les compromissions, un père de famille et époux aimant. Moussa Sène Absa espère surtout que

      la lumière sera faite sur cette affaire et que les auteurs seront punis.


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