Iran : un bond alarmant du nombre d’exécutions en 2024, selon des ONG
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En 2024, l’Iran a procédé à l’exécution d’au moins 975 personnes, révélant une utilisation croissante de la peine de mort, perçue comme un instrument de « répression politique » par le régime islamique. Cette tendance inquiétante a été mise en lumière par un rapport publié le jeudi 20 février, fruit du travail conjoint de l’organisation Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège, et de l’ONG française Ensemble contre la peine de mort (ECPM), comme rapporté par Sud Quotidien. Selon l’AFP, ce chiffre représente un bond de 17% par rapport à l’année précédente.
Les statistiques dévoilées, les plus imposantes depuis le début de ce recensement en 2008, sont qualifiées d' »extrêmement choquantes » par ces organisations. Cette affirmation a été transmise dans leur rapport, et celle-ci a trouvé écho dans la communauté internationale, alertant sur la situation critique des droits humains en Iran. Le document a également évoqué l’implication du gouvernement iranien dans un système répressif utilisant la peine capitale comme outil de contrôle.
Les détails de ce rapport, relayés par l’AFP et cités par Sud Quotidien, illustrent non seulement une hausse significative du nombre d’exécutions, mais soulignent également la nécessité pour la communauté internationale de s’engager fermement contre cette pratique. Il est impératif d’adopter des mesures pour contrer ce qui est décrit comme une « escalade effroyable » par les défenseurs des droits humains. Le rapport continue d’appeler à une action mondiale concertée pour mettre fin à ce recours excessif à la peine de mort.
Ce sont les médias et les ONG occidentaux qui sont responsables de leur mort.
Ils incitent les Iraniens à renverser leur gouvernement.
Donc ils se font détruire.
Personne ne les force à rester en Iran.
L’Iran, tu l’aimes ou tu la quitte.