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Grâce présidentielle douteuse : Pape Alé Niang exige la vérité sur l'affaire Amadou Woury Diallo

Le directeur général de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), Pape Alé Niang, est une nouvelle fois monté au créneau sur le réseau social X, dénonçant avec fermeté les zones d’ombre autour de l’affaire Amadou Woury Diallo, impliqué dans un trafic de médicaments avant de bénéficier d’une grâce présidentielle controversée.

« J’ai toujours assumé mes responsabilités avec stoïcisme, courage et détermination. Il est maintenant temps que chacun ait le courage d’assumer les siennes », a lancé le journaliste, connu pour ses prises de position tranchées en faveur de la transparence et de la justice.

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Militant inlassable pour une société démocratique fondée sur la bonne gouvernance, Pape Alé Niang appelle à une relance de l’enquête. « Le dossier de l’inculpé Amadou Woury Diallo (…) doit être réouvert », affirme-t-il, estimant que cette affaire, loin d’être close, soulève encore de nombreuses interrogations au sein de l’opinion publique.

Il qualifie le scandale d’« affaire qui avait profondément ébranlé la République » et insiste : « Ce scandale mérite d’être revisité afin d’éclairer l’opinion publique. »

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Par cette sortie, le directeur de la RTS interpelle les autorités sur la nécessité de rendre des comptes et de restaurer la confiance des citoyens dans les institutions judiciaires et politiques.

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2 commentaires

  1. Gorgui

    PAN, arrête de nous parler de ces broutilles et consacre toi pleinement dans ta mission de diriger cette importante entreprise nationale de presse avec ses nombreux problèmes.

    A quoi sert d’ouvrir chaque jour un procès déjà traité par la justice même si cela prête souvent à équivoque.

    Il faut plus tôt chercher celui où ceux qui ont mus le nom de Diallo sur la liste et pourquoi.

    Au travail, assez de denonciations.


  2. Mamadou Lamine Diop

    Pape,

    Le Sénégal ne peut plus se nourrir que de procès en procès.

    Pastef doit impérativement, se mettre au travail, arrêter de pleurnicher et ne plus arrêter les gens pour des délits d’opinion.

    Sinon la sentence des Sénégalais sera impitoyable dans 3 ans et demi.


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