Jusqu’à hier soir, le voile planait encore sur la composition du gouvernement sénégalais, seulement éclairci par le nom de son Premier ministre, Ousmane Sonko. La laborieuse attente serait attribuable aux nombreuses rivalités internes au sein de la coalition au pouvoir ainsi qu’à des revendications multiples de la part des alliés. Ces tensions trahissent un début de règne agité où la solidarité semble mise à mal devant l’appât de postes ministériels.
Insatiables appétits et luttes d’égo auraient marqué les premiers jours de la nouvelle équipe exécutive. Des confrontations auraient même poussé l’un des belligérants, Bassirou Diomaye Faye, à envisager sa démission. La situation au sein du parti Pastef, désormais à la barre, ne serait guère plus reluisante, avec des échanges tranchants observables sur les réseaux sociaux entre camarades déterminés à ne rien lâcher.
Le paysage politique s’alourdit encore avec les ambitions d’alliés de dernière minute. Karim Wade, par exemple, réclamerait sa part du gâteau pour son rôle jugé décisif lors des élections, évoquant implicitement la menace d’un basculement vers l’opposition en cas de mécontentement. Face à ces désirs voraces et pourtant prévisibles, le gouvernement de Sonko se trouve face à un véritable casse-tête pour honorer ses engagements, notamment le non-cumul des mandats promis aux électeurs.
La durée c’était un mois et plus cette fois-ci c’est moins d’une semaine
La dure
Des mensonges rien que des mensonges
Charabia
Si vous interrogez l’histoire des 2 changements de présidents avant, vous verrez que l’annonce du gouvernement a été après les festivités du 4 avril.
Fene rek ! Bayi lene féne ! Diomaye démissionner ?
Bayyilène fofou rék, inchallah Sonko ak Diomaye resteront soudés, feront les bons choix, et mèneront le pays vers la prospérité, n’en déplaise à ces imminents ménopausés de benno.
Gouvernement bi yaikhnadi. Pathiobi dou yombe dai,wa diaspora yi djokhaiwon senni milliards gneuwnagnou diwoutssi place si gouvernement bi.motakh tanebi diaffet ta yaikhe.diguai boula fayrekk.
Taye mou nekh dale. État dou opposition dai,gnamelenn sett, bou thiow djipe, kouman na deff.