Juan Branco relate avoir observé l’arrestation de dix mille manifestants en moins d’un an, des personnes mutilées et blessées lors des manifestations. Il décrit les violences subies par des citoyens, les odeurs de lacrymogènes omniprésentes et les coups de matraque reçus.
Branco évoque également des jeunes de dix-huit ans dont la vie a été brisée, et des victimes de violences conjugales et sexuelles dont les procédures ont été retardées à cause des actions du gouvernement. Il constate que des magistrats se sont pliés en quatre pour donner la priorité à des poursuites contre de simples citoyens.
Il mentionne que des militants pacifistes ont été arrêtés et poursuivis, et des candidats aux élections convoqués et intimidés simplement pour avoir parlé ou pensé différemment. Il déclare avoir vu des jeunes arrêtés à leur domicile par le GIGN pour des tweets, et une justice détournée au service de certains ministres et préfets.
Juan Branco continue en décrivant les menaces d’arrestation contre le rappeur Booba pour avoir dénoncé les escroqueries d’une proche de Brigitte Macron. Il déplore la médiocrité et la psychopathologie au pouvoir, et observe des générations entières incapables de se loger, tandis que les villes se vidaient et que le pays se confinait.
Il décrit les entorses à la justice, avec des conseillers de l’Élysée se déguisant en policiers pour frapper des manifestants et jouir des privilèges en toute impunité. Il observe des actions irresponsables de la part du président, comme envoyer un porte-avions pour impressionner la Chine ou tenter de résoudre des crises internationales sans succès.
Branco détaille les abus de pouvoir et la manipulation médiatique, mentionnant le contrôle de la presse par des hommes pour servir leurs intérêts. Il cite le cas de Marc-Olivier Fogiel et d’autres figures médiatiques gagnant en pouvoir malgré leurs compétences discutables.
Il affirme que des policiers et magistrats falsifient des procès-verbaux pour satisfaire des demandes et décrit une société de plus en plus violente et hystérique. Il souligne l’effondrement des services publics, des hôpitaux, des écoles et des universités.
En conclusion, Juan Branco exprime sa vision d’une France qui s’effondre sous le poids de la corruption, des abus de pouvoir et de la manipulation. Il appelle à une prise de conscience avant que le pays ne soit emporté par une guerre imminente.