L’angle de traitement par la presse des recours initiés par la coalition Benno Bok Yakaar suite à la proclamation des résultats provisoires issus de la commission départementale de recensement des votes de Kaolack suscite des interrogations au sein des alliés du directeur général de la société nationale d’électricité ( Senelec). Pour Cheikh Ibrahima Diallo, les journalistes savent pertinemment que le fichier électoral seulement ne garantit pas une élection transparente.
« La presse est tombée dans les filets des lobbys qui veulent détruire notre démocratie. Le scrutin ce n’est pas seulement un fichier fiable mais aussi un déroulement paisible et sécurisé du vote et des opérations de comptage et de compilation des résultats. Donc comment comprendre que des chiens de chasse de type bergers Allemand ou Bulldogs puissent envahir nos centres de vote et l’ont quitté tardivement à cause de l’arrêté du Gouverneur qui est une pièce justificative majeure », tape du poing sur la table Cheikh Ibrahima Diallo.
Pour lui, le scrutin du 23 janvier a fait tomber beaucoup de masques dans tous les corps sociaux du pays surtout ceux qui versent dans le chantage médiatique ou le » mercenariat de la plume. « Qui est derrière la Une des journaux, cette irruption dans les élections départementales de Kaolack, fait poser de nombreuses questions. Celui qui a peur de son lendemain doit dire la vérité où se taire à jamais dans une élection où la garantie de transparence doit être de rigueur sans celà, on doit tout annuler » conclut le secrétaire général du parti justice et développement.
justement mr diallo l aspect sécurité etant fondamentale il fallait user du droit que confère la loi en saisissant l autorité pour règlement de l affaire point barre mais attendre que ces animaux y passent la journée pour réagir c est prouver qu ils n ont pas gêne