Le Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen Secondaire (CUSEMS) revient sur l’année scolaire 2017-2018 marquée par des grèves répétitives. Les responsables syndicaux remettent leurs revendications « légitimes » sur la table et menacent le gouvernement.
« Nous allons vers une année électorale, l’élection présidentielle. C’est une année difficile. Et notre agenda, nous organisations syndicales, est différent de celui des politiciens. Si nos problèmes ne sont pas résolus, nous allons les poser, nous allons nous battre pour amener le gouvernement à respecter ses engagements. Gouverner, c’est prévoir. Etant donné que nous allons vers une année électorale, le gouvernement doit anticiper et régler les problèmes », a dit Abdoulaye Ndoye, secrétaire général du CUSEMS.
Il s’exprimait ce mardi 25 septembre en marge du congrès du syndicat. Cette rencontre du Cusems a pour thème : « Droit et obligation des Enseignants » et réunit des responsables venus de tout le Sénégal.
Des propos qui ne sont ni des chantages, ni des menaces à l’égard de Macky Sall, soutient Abdoulaye Ndoye. « Les enseignants n’ont jamais fait de menaces, nous sommes des partenaires de l’école. Nous nous sacrifions tous les jours. C’est une combat pour la revalorisation du système éducatif. L’enseignant ne connait pas le chantage. L’enseignant connait la fraternité, la cohésion, l’inclusion, la qualité, le sacrifice et le don de soi », a-t-il précisé.
Khé,la paix. Sougnou bop lagnou guem. Ak sougnou lokho. Pas de la politique, nous sommes un syndicat d’enseignants.
Macky aide nous rek nga respecter Say engagement envers les enseignants sinon reik gnoun gni neik en classe e examen dina metti ci gnoune
attaquer macky est peureux; vous aurez tout. attaquer
On dit un combat, pas une combat