Monseigneur André Gueye, archevêque de Dakar, a confirmé sa participation à la cérémonie d’ouverture du dialogue national sur le système politique, convoqué par le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Il a reçu à cet effet le professeur Cheikh Gueye, facilitateur du dialogue et porteur de l’invitation présidentielle.
Lors de leur entretien, Monseigneur Gueye a salué cette initiative qu’il considère comme un moment fort pour favoriser l’émergence de consensus autour des grandes questions politiques, dans le but de consolider la stabilité et la démocratie, notamment à l’approche des prochaines élections.
Il a également souligné le rôle central de l’Église catholique dans la promotion de la paix, du dialogue et de la cohésion nationale.
À son tour, le professeur Cheikh Gueye a invité l’archevêque à désigner des représentants de l’Église pour prendre part aux commissions qui seront mises en place après l’ouverture officielle du dialogue.
Une invitation accueillie avec satisfaction par Monseigneur Gueye, qui a affirmé que la participation de l’Église ira au-delà de sa personne, en impliquant évêques, laïcs et autres acteurs engagés dans la vie nationale.
Depuis le début du Concile Vatican d’eux, l’Eglise catholique, apostolique et romaine est « éclipsée » ( Notre-Dame de La Salette-Fallavaux, 19 septembre 1846 ) par une fausse église mais une vraie franc-maçonnerie.
« Ne pensez pas que Je sois venu apporter la paix sur la Terre : Je ne suis pas venu apporter la paix mais l’épée.
Oui, Je suis venu séparer l’homme de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère : on aura pour ennemis les gens de sa propre maison.
Celui qui aime son père ou sa mère plus que Moi n’est pas digne de Moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que Moi n’est pas digne de Moi. »
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu, chapitre 10, versets 34 à 37.
« Pensez-vous que Je sois venu apporter la paix sur la terre ? Non, Je vous le dis, mais bien plutôt la division.
Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc, chapitre 12, versets 51 à 53.
« Ne formez pas d’attelage disparate avec des infidèles. Quel rapport en effet entre la justice et l’impiété ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle entente entre le Christ et Béliar ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? Quel accord entre le temple de Dieu et les idoles ? Or c’est nous qui sommes le temple du Dieu vivant, ainsi que Dieu l’a dit : J’habiterai au milieu d’eux et J’y marcherai ; Je serai leur Dieu et ils seront Mon peuple. Sortez donc du milieu de ces gens-là et tenez-vous à l’écart, dit le Seigneur. Ne touchez rien d’impur, et Moi, Je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour Moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant. »
Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens, chapitre 6, versets 14 à 18.