Devenue l’Entente féminine pour le développement du Sénégal (Efds), ces femmes de Sicap œuvrent depuis 2003 dans le développement socio-économique du pays. Ainsi, elles comptent s’investir sur le terrain afin d’accompagner les actions de développement du président de la République Macky Sall, à travers le Plan Sénégal Emergent (Pse).
« Notre structure a été portée sur les fonds baptismaux depuis 2003 par des femmes qui habitent les Sicap. Elle a comme objectif de travailler à éradiquer la pauvreté grandissante dans cette partie de la capitale sénégalaise longtemps considérée comme une zone semi-résidentielle alors qu’il y prévalait un dénuement indicible. Le Programme d’ajustement structurel survenu dans les années 90 et la radiation des policiers en 1987 avaient fait des lots de déflatés au niveau des Sicap. Beaucoup avait des problèmes pour joindre les deux bouts, prendre en charge correctement la scolarité des enfants. Bien de bailleurs de fonds étaient orientés vers la banlieue. C’est ce qui motivait la création de cette trouvaille », a déclaré la présidente Ndèye Sagar Tall.
« Nous réunissons la presque totalité des habitantes des Sicap pour inverser la tendance en les capacitant mais aussi en menant des activités génératrices de revenus. Aujourd’hui, après plusieurs actions couronnées de succès, nous étendons nos tentacules. Nous avons, sur ces entrefaites, réussi le maillage du territoire national. C’est ce qui nous pousse à faire la mue pour devenir, par la suite, l’Entente féminine pour le développement du Sénégal. Nous allons nous investir pour accompagner davantage la politique sociale de son Excellence le président de la République Macky Sall, à travers son ambitieux plan, le Pse », conclut-elle.
bonne contnuation a vous les braves dames de entente des sicaps et surtout bravo a dama de fer de d abnegations je veux citer la presidente NDEYE SAGAR TALL qui a vite compris l enjeux enorme du PSE … felicitatons
Le pays a besoin de ce genre d’acteur pour réussir son émergence. Ce sont ces Sénégalais qui travaillent dans l’ombre, et généralement sans grand accompagnement, qu’on doit soutenir. En tout cas le Sénégal à besoin de ceux qui travaillent !
konne de legui niou fasse ko