Le vote du budget du ministère de l’Energie a été l’occasion samedi pour les débutés d’aborder le sort des cases, postes, centres de santé et autres hôpitaux qui rencontrent des difficultés à honorer leurs factures d’électricité.
Dans la brèche se sont engouffrés des députés de Bennoo bokk yaakaar (Bby) pour intimer l’ordre au ministre Thierno Alassane Sall de couper le courant aux mauvais payeurs.
« Il faut prendre votre courage à deux mains, monsieur le ministre, et couper le courant pour toutes les structures qui ne payent pas leurs factures. Il ne faut pas reculer, si les hôpitaux ne paient pas, il faut leur couper le courant quelles que soient les conséquences, a conseillé dans L’Obs, le député « apériste » Adama Sow.
Et Papa Diallo dit Zator Mbaye de l’Afp de renchérir: « Il ne faut pas faire deux poids deux mesures. si les hôpitaux ne peuvent pas, on doit leur couper le courant. Car, il n’y a pas un service gratuit dans ces hôpitaux et ces établissements publics ont une autonomie de gestion ».
Last but not least, Moustapha Diakhaté, président du groupe Bby, corse la dose. Selon lui, « les Sénégalais ne doivent pas accepter que la Senelec soit prise en otage. Que ceux qui ont engagé des contrats avec la Senelec les honorent. Mais, on ne peut pas continuer à faire des moratoires pour les hôpitaux. Une Nation ne fonctionnent pas ainsi, qu’on leur coupe le courant s’ils ne payent pas ».
Que d'idiots dans ce pays ! Les malades crèvent. Au lieu de démettre les gestionnaires et directeurs on fait des propositions aussi loufoques et peu intelligentes.
Supprimez la:prime de 30% qui va au personnel et i! Y a encore d'autres pistes plus ingénues que ces fadaises
D'accord; l'assemblee nationale aussi et les logements de prestige doivent aussi participer a sauver la senelec.
entièrement en accord avec vous M. Mbaye. mais le 2 poids 2 mesures n'est pas justifié. Recommandez aux ministres de payer leurs impôts sur leurs immeubles et sur les revenus engrangés.
D'accord avec les députés,nos hôpitaux ne soignent pas ils aggravent les maladies et en plus à des coûts excessifs.