« Des corps, des disparitions, des familles brisées » : Le cri de cœur de Me Kabou sur les affaires Mankabou, Sambou et Badji
Dans un message empreint d’émotion et de gravité, Me Patrick Kabou rappelle les tragédies non élucidées qui continuent de hanter le Sénégal.
« Du sang, des larmes, un lit d’hôpital, un corps : celui de François MANKABOU », écrit-il, évoquant la douloureuse mémoire de cet homme décédé dans des circonstances troublantes.
À cette perte s’ajoutent « des peurs, des inquiétudes, un corps repêché : celui de Fulbert SAMBOU » et « une disparition : celle de Didier BADGI ». Trois hommes, trois destins brisés, un même cri de douleur partagé par leurs familles.
« Le lien entre ces dignes fils de la Nation sénégalaise est la souffrance de leurs familles », souligne l’avocat.
Me Kabou rappelle que la veuve de Didier Badji est morte sans jamais savoir ce qu’il est advenu de son mari. « Un silence qui blesse et tue lentement les autres épouses et leurs familles », déplore-t-il.
Il lance un appel solennel : « Rendez leur justice et ils vous rendront grâce de les avoir apaisés ».
Avant de conclure, comme une leçon républicaine : « La justice n’est efficace que si elle est rendue ».
C’est pourquoi il est d’une extrême urgence d’arrêter Macky Sall. L’Afrique du Sud n’a toujours pas soldé les victimes de l’apartheid malgré la vérité et réconciliation prônée par Mandela. Macky Sall n’est pas comparable à Mandéla, mais c’est vous dire les difficultés d’un travail de deuil qui ne se décrété pas. Mandéla était motivé d’une intention sublime là où Macky Sall voulait camoufler, protèger et s’évader avec des milliards de francs cfa …
Faites confiance à ce régime. Ces crimes ne resteront impunis
Tout cela est de la responsabilité du chef de gang le premier koulouna Macky Sall.
JUSTICE DOIT ETRE FAITE POUR DERNIERS .