Le Conseil constitutionnel du Sénégal a récemment confirmé la période de dépôt des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle, fixée jusqu’au 26 décembre à minuit. Pour faciliter le processus, une permanence a été mise en place, permettant aux candidats et à leurs représentants de soumettre leurs dossiers dans les temps impartis.
Malgré une ferveur notable pour le retrait des fiches de parrainage, essentielles à la collecte des soutiens nécessaires à une candidature valide, une moindre affluence est observée au niveau du dépôt effectif des dossiers au Conseil constitutionnel. Selon les derniers comptes rendus par des associations et activistes sur les réseaux sociaux, environ une douzaine de candidatures ont été déposées jusqu’à présent.
En complément du dossier de parrainage, les candidats doivent déposer une caution de 30 millions de francs CFA auprès de la Caisse de dépôt et de consignation, ainsi que divers documents requis. Jusqu’à maintenant, près de 40 candidats ont rempli cette condition financière, signe de leur sérieux et de leur engagement dans la course présidentielle.
Parmi les dossiers déjà soumis au Conseil constitutionnel, des figures politiques notoires telles qu’Idrissa Seck et Karim Wade sont mentionnées. Cependant, le camp présidentiel, avec Amadou Ba récemment investi par les mouvances présidentielles, n’a pas encore officialisé son dépôt de dossier. De même, la situation d’Ousmane Sonko, actuellement emprisonné mais représenté par son mandataire Ayib Daffé, reste incertaine, notamment concernant la soumission des parrainages et de l’attestation de caution.
Le Conseil constitutionnel a la tâche de filtrer, valider et vérifier la conformité de tous les dossiers avant leur publication officielle prévue pour le 20 janvier. Il est anticipé que le nombre de candidats validés pourrait se situer entre 8 et 10, un chiffre modeste par rapport au nombre de plus de 200 retraits de fiches de parrainage. Ce processus de sélection rigoureux assure une compétition électorale sérieuse et conforme aux exigences constitutionnelles.
Y aura-t-il un embouteillage de dernière heure au niveau du Conseil constitutionnel ? Nous le verrons bien dans moins de deux jours.
Il faut le demander à apr bby nervis
200 candidatures fantésistes, certains ne cherchaient que du buzz et de la publicité,on aurait dû éxiger la caution de 30 millions au moment du retrait des fiches
200 retraite de dossiers. C’est comme dans un appel d’offres. On retire le DAO (dossier d’appel d’offres) et l’examine et si on ne peut pas répondre on classe le dossier. C’est ce qui arrive aux 200 personnes ayant retiré le dossier de candidature.
UN OPPOSANT N, EST PAS UN ENNEMI , MAIS MACKY SALL NE LE SAIT, C’EST UN DICTATEUR
Macky Sall EST UN HOMME du passé,il sera vite oublié dans L, histoire politique du Sénégal ,il a mal traité ,ses opposants
Depuis l’indépendance, on n’a décompté que quatre Retraités pour le même Poste.
Cela veut dire que ce Poste n’est pas fait pour tout le monde même si tout le monde souhaite y accéder !
Un célèbre philosophe grec disait : <> , ce qui veut dire, <> .
Si cette vérité était respectée par tous , on n’aurait pas autant de bousculades au retrait des fiches de parainnage .